Investing.com - La livre sterling n'a guère évolué face au dollar U.S. ce mardi, bien qu'il ait été souligné que le bâtiment britannique avait connu le mois passé son expansion la plus rapide depuis mai 2012.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5194 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5205, trébuchant de 0,06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5164, son plancher du 28 juin, et de rencontrer de la résistance à 1,5278, son plafond de vendredi.
Le baromètre des directeurs des achats du domaine de la construction du Royaume-Uni établi par groupe de recherches économiques Markit est ainsi remonté depuis 50,8 vers 51,0 après ajustement saisonnier pour juin.
Cette parformance constituait cependant une légère déception au regard des 51,1 espérés.
Tim Moore, un des principaux économistes de l'institut, précisait que ces informations renforçaient cependant les perspectives de croissance au second trimestre, réduisant iansi les chances de nouveaux accommodements de la part de la Banque d'Angleterre dans le sillage de sa réunion de jeudi.
Il avait déjà été noté hier que l'activité mnufacturière nationale avait connu sur la même période sa plus belle embellie en deux ans.
Les opérateurs marchaient sur des oeufs, les yeux désormais tournés vers les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
L'institut de gestion des approvisionnements avait pour sa part révélé dans la soirée que son indice des directeurs des achats du domaine manufacturier des Etats-Unis s'était remis d'un passage à vide inopiné en remontant à 50,9 pour le mois passé.
Il était cependant à noter que sa variable portant sur l'emploi se rétractait dans le même temps pour la première fois depuis septembre 2009.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs pris le dessus contre l'euro, l'EUR/GBP dérapant de 0,16% pour glisser à 0,8569.
La monnaie unique s'est retrouvée fragilisée après que des représentants des autorités européennes aient fait savoir en cours de matinée que la Grèce disposait de trois jours pour trouver un accord avec la troïka de ses bailleurs de fonds afin de se voir octroyer la prochaine tranche d'aides lors de la prochaine réunion des ministres des finances de l'Eurogroupe de lundi.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5194 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5205, trébuchant de 0,06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5164, son plancher du 28 juin, et de rencontrer de la résistance à 1,5278, son plafond de vendredi.
Le baromètre des directeurs des achats du domaine de la construction du Royaume-Uni établi par groupe de recherches économiques Markit est ainsi remonté depuis 50,8 vers 51,0 après ajustement saisonnier pour juin.
Cette parformance constituait cependant une légère déception au regard des 51,1 espérés.
Tim Moore, un des principaux économistes de l'institut, précisait que ces informations renforçaient cependant les perspectives de croissance au second trimestre, réduisant iansi les chances de nouveaux accommodements de la part de la Banque d'Angleterre dans le sillage de sa réunion de jeudi.
Il avait déjà été noté hier que l'activité mnufacturière nationale avait connu sur la même période sa plus belle embellie en deux ans.
Les opérateurs marchaient sur des oeufs, les yeux désormais tournés vers les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
L'institut de gestion des approvisionnements avait pour sa part révélé dans la soirée que son indice des directeurs des achats du domaine manufacturier des Etats-Unis s'était remis d'un passage à vide inopiné en remontant à 50,9 pour le mois passé.
Il était cependant à noter que sa variable portant sur l'emploi se rétractait dans le même temps pour la première fois depuis septembre 2009.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs pris le dessus contre l'euro, l'EUR/GBP dérapant de 0,16% pour glisser à 0,8569.
La monnaie unique s'est retrouvée fragilisée après que des représentants des autorités européennes aient fait savoir en cours de matinée que la Grèce disposait de trois jours pour trouver un accord avec la troïka de ses bailleurs de fonds afin de se voir octroyer la prochaine tranche d'aides lors de la prochaine réunion des ministres des finances de l'Eurogroupe de lundi.