Investing.com - La livre sterling n'a pas flanché face au dollar U.S. ce mercredi, mais a cependant dérapé dans une ornière journalière contre son homologue européen, qui profitait pour ce mois-ci des signes de reprise plus encourageants que les 18 précédents de la part de la région où il a cours.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5346 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5363, trébuchant de 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5256, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,5391, son plafond mensuel établi hier.
Le billet vert avait en effet retrouvé de la popularité à l'aube, dans le sillage des pires résultats en 11 mois du secteur secondaire de la Chine, encourageant les valeurs sûres.
La première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière chinoise établie par HSBC a ainsi plongé depuis les 48,2 définitifs précédents vers 47,7 pour juillet, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé, toute valeur supérieure à 50 dénotant une croissance.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs quelques centimètres de terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0,16% pour culminer à 0,8615.
L'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit est en effet remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois en cours, grâce aux bonnes performances de la locomotive franco-allemande, laissant espérer une sortie de récession au troisième trimestre.
Celui des directeurs d'achat des industries germaniques avait ainsi bondi de 48,6 vers 50,3 pour juillet, surpassant du coup les 49,2 espérés, alors que son équivalent concernant les services était remonté des 50,4 de juin à 52,5, dépassant également les 50,8 anticipés.
Ceux de la france sont respectivement passés de 48,4 à 49,8, établissant un sommet de 17 mois, et de 47,2 à 48,2 dans le même temps.
Les yeux étaient désormais tournés vers le nombre des ventes de logements neufs des Etats-Unis, sur fond de rumeurs sur le moment où la Réserve Fédérale décidera de fermer les vannes.
Son président Ben Bernanke avait déclaré la semaine passée que celui-ci dépendrait de l'état de santé économique national.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5346 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5363, trébuchant de 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5256, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,5391, son plafond mensuel établi hier.
Le billet vert avait en effet retrouvé de la popularité à l'aube, dans le sillage des pires résultats en 11 mois du secteur secondaire de la Chine, encourageant les valeurs sûres.
La première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière chinoise établie par HSBC a ainsi plongé depuis les 48,2 définitifs précédents vers 47,7 pour juillet, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé, toute valeur supérieure à 50 dénotant une croissance.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs quelques centimètres de terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0,16% pour culminer à 0,8615.
L'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit est en effet remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois en cours, grâce aux bonnes performances de la locomotive franco-allemande, laissant espérer une sortie de récession au troisième trimestre.
Celui des directeurs d'achat des industries germaniques avait ainsi bondi de 48,6 vers 50,3 pour juillet, surpassant du coup les 49,2 espérés, alors que son équivalent concernant les services était remonté des 50,4 de juin à 52,5, dépassant également les 50,8 anticipés.
Ceux de la france sont respectivement passés de 48,4 à 49,8, établissant un sommet de 17 mois, et de 47,2 à 48,2 dans le même temps.
Les yeux étaient désormais tournés vers le nombre des ventes de logements neufs des Etats-Unis, sur fond de rumeurs sur le moment où la Réserve Fédérale décidera de fermer les vannes.
Son président Ben Bernanke avait déclaré la semaine passée que celui-ci dépendrait de l'état de santé économique national.