Investing.com - La livre sterling a laissé le dollar U.S. prendre l'avantage ce mardi, et semblait devoir se maintenir dans une fourchette limitée sur fond d'incertitudes sur les orientations de l'émettrice de son adversaire, qui nuisaient à l'humeur ambiante.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5994 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,6004, perdant 0,24%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5975, son plancher psychologique prédécent, et de rencontrer de la résistance à 1,6071, son plafond d'hier.
L'avancée du billet vert semblait cependant peu susceptible de se prolonger après qu'un des décideurs de la Réserve Fédérale ait défendu le maintien de ses orientations précédentes.
William Dudley, président de sa filiale de New York, ait estimé hier que le rythme de la relance des Etats-Unis demeurait trop lent pour que leur banque centrale envisage un tour de vis.
Il a ajouté que tout ajustement du volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs "devait trouver sa source dans des statistiques portant sur l'état réel de l'économie".
Elle avait ainsi déclaré qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles de conslidation économique durables avant de changer de cap, surprenant ainsi les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle fermerait légèrement les vannes.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grimpant de 0,28% pour se hisser à 0,8433.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs après qu'il ait été montré ce matin que la confiance économique allemande avait connu un regain inférieur aux espérances pour ce mois-ci, tout en atteignant malgré tout son plus haut niveau depuis mars 2012.
L'indice du moral dans les entreprises germaniques établi par l'institut Ifo pour la recherche économique a ainsi réalisé un saut de puce depuis les 107,6 d'août vers 107,7, au lieu des 108,2.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5994 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,6004, perdant 0,24%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5975, son plancher psychologique prédécent, et de rencontrer de la résistance à 1,6071, son plafond d'hier.
L'avancée du billet vert semblait cependant peu susceptible de se prolonger après qu'un des décideurs de la Réserve Fédérale ait défendu le maintien de ses orientations précédentes.
William Dudley, président de sa filiale de New York, ait estimé hier que le rythme de la relance des Etats-Unis demeurait trop lent pour que leur banque centrale envisage un tour de vis.
Il a ajouté que tout ajustement du volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs "devait trouver sa source dans des statistiques portant sur l'état réel de l'économie".
Elle avait ainsi déclaré qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles de conslidation économique durables avant de changer de cap, surprenant ainsi les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle fermerait légèrement les vannes.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grimpant de 0,28% pour se hisser à 0,8433.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs après qu'il ait été montré ce matin que la confiance économique allemande avait connu un regain inférieur aux espérances pour ce mois-ci, tout en atteignant malgré tout son plus haut niveau depuis mars 2012.
L'indice du moral dans les entreprises germaniques établi par l'institut Ifo pour la recherche économique a ainsi réalisé un saut de puce depuis les 107,6 d'août vers 107,7, au lieu des 108,2.