Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, l'espoir que la Grèce puisse prendre les mesures nécessaires au bénéfice du second plan de sauvetage redonnant le moral aux observateurs.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.26% pour grimper à 1.3168.
Les ministres des finances de l'Eurogroupe ont annulé leur réunion sur un éventuel feu vert au programme de secours pour la nation hellène prévue pour aujourd'hui après qu'Athènes n'ait pas réussi à donner des garanties concernant l'application des mesures de rigueur adoptées dimanche par le vote du parlement, mais ils devraiennt tenir une téléconférence à la place, en attendant de se rencontrer lundi.
La monnaie unique avait repris des couleurs après que le gouverneur de la Banque Populaire de Chine ait affirmé estimer les problèmes de la zone euro solubles, ajoutant que son pays s'investirait davantage dans cette direction, grâce notamment au Fonds de Stabilisation Financière Européen.
Un rapport préliminaire avait auparavant signalé que l'économie allemande avait moins régressé lors des trois derniers mois de l'année 2011 qu'il n'avait été craint, laissant échapper 0.2%, au lieu des 0.3% redoutés.
La livre sterling lui a toutetfois cédé quelques pouces de terrain, le GBP/USD trébuchant de 0.11% pour glisser à 1.5678.
Une étude montrait ce matin que le nombre des bénéficiaires des aides aux chercheurs d'emploi britanniques avait davantage augmenté en janvier que prévu, tandis que le taux de chômage restait stable à 8.4%, son plus haut niveau depuis 1996.
Le yen a aussi subi sa pression du yen, l'USD/JPY grignotant 0.08% pour se hisser à 78.5.
La devise nippone s'était auparavant s'était auparavant trouvée précipitée dans une ornière des trois derniers mois par la Banque du Japon, déclarant sans crier gare l'ajout de 10 billions de JPY à son programme d'achat d'actifs, établissant aussi un objectif à 1% pour son taux d'inflation, afin de stimuler la croissance et protéger l'économie des effets du yen fort.
Il n'en a pas été de même avec le franc suisse, l'USD/CHF dérapant de 0.26% pour tomber à 0.917.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.44% pour aller vers 0.9945, l'AUD/USD raflant 0.71% pour monter à 1.0769 et le NZD/USD engrangeant 0.83% pour culminer à 0.8406.
Des informations émanant des autorités avaient indiqué ce matin que les ventes au détail en Nouvelle-Zélande avaient progressé de 2.2% par rapport au troisième trimestre, enfonçant largement les 1.3% prévus.
Il a d'autre part été souligné que la confiance des consommateurs australiens avait connu connu ce mois-ci son renforcement le plus important du trimestre, les deux rabaissements des taux de la banque centrale du pays en fin d'année dernière améliorant les perspectives financières des ménages.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.3% pour se situer à 79.31.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui la diffusion de l'indice manufacturier de la région de New York, ainsi que des chiffres de la production industrielle et de l'utilisation des capacités de production, tandis que la Réserve Fédérale dévoilera le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.26% pour grimper à 1.3168.
Les ministres des finances de l'Eurogroupe ont annulé leur réunion sur un éventuel feu vert au programme de secours pour la nation hellène prévue pour aujourd'hui après qu'Athènes n'ait pas réussi à donner des garanties concernant l'application des mesures de rigueur adoptées dimanche par le vote du parlement, mais ils devraiennt tenir une téléconférence à la place, en attendant de se rencontrer lundi.
La monnaie unique avait repris des couleurs après que le gouverneur de la Banque Populaire de Chine ait affirmé estimer les problèmes de la zone euro solubles, ajoutant que son pays s'investirait davantage dans cette direction, grâce notamment au Fonds de Stabilisation Financière Européen.
Un rapport préliminaire avait auparavant signalé que l'économie allemande avait moins régressé lors des trois derniers mois de l'année 2011 qu'il n'avait été craint, laissant échapper 0.2%, au lieu des 0.3% redoutés.
La livre sterling lui a toutetfois cédé quelques pouces de terrain, le GBP/USD trébuchant de 0.11% pour glisser à 1.5678.
Une étude montrait ce matin que le nombre des bénéficiaires des aides aux chercheurs d'emploi britanniques avait davantage augmenté en janvier que prévu, tandis que le taux de chômage restait stable à 8.4%, son plus haut niveau depuis 1996.
Le yen a aussi subi sa pression du yen, l'USD/JPY grignotant 0.08% pour se hisser à 78.5.
La devise nippone s'était auparavant s'était auparavant trouvée précipitée dans une ornière des trois derniers mois par la Banque du Japon, déclarant sans crier gare l'ajout de 10 billions de JPY à son programme d'achat d'actifs, établissant aussi un objectif à 1% pour son taux d'inflation, afin de stimuler la croissance et protéger l'économie des effets du yen fort.
Il n'en a pas été de même avec le franc suisse, l'USD/CHF dérapant de 0.26% pour tomber à 0.917.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.44% pour aller vers 0.9945, l'AUD/USD raflant 0.71% pour monter à 1.0769 et le NZD/USD engrangeant 0.83% pour culminer à 0.8406.
Des informations émanant des autorités avaient indiqué ce matin que les ventes au détail en Nouvelle-Zélande avaient progressé de 2.2% par rapport au troisième trimestre, enfonçant largement les 1.3% prévus.
Il a d'autre part été souligné que la confiance des consommateurs australiens avait connu connu ce mois-ci son renforcement le plus important du trimestre, les deux rabaissements des taux de la banque centrale du pays en fin d'année dernière améliorant les perspectives financières des ménages.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.3% pour se situer à 79.31.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui la diffusion de l'indice manufacturier de la région de New York, ainsi que des chiffres de la production industrielle et de l'utilisation des capacités de production, tandis que la Réserve Fédérale dévoilera le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation.