Investing.com - L'euro a fait mieux que résister au dollar U.S. ce vendredi matin, alors que la prudence restait de mise sur fond d'incertitudes sur les orientations de la banque centrale des Etats-Unis, et sur leur budget.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3502 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3496, grignotant 0,06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3338, son plancher du 18 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1,3544, son plafond du 23.
La nervosité était palpable après qu'une récente série de résultats américaines aient ravivé les craintes au sujet de la relance du pays.
Il a ainsi été souligné hier que l'évaluation de la croissance du second trimestre s'y était stabilisée à 2,5%, comme la précédente, avec une augmentation de 1,8% des dépenses des ménages après celle de 2,3% constatée lors du premier.
Les angoisses liées au problème du budget fédéral ont aussi ressurgi après que le groupe des députés républicains ait refusé dans le même temps d'accéder aux demandes du président Obama, réclamant sans détour de quoi faire tourner l'administration au-delà du 30 septembre, et d'augmenter le pouvoir d'emprunt de l'exécutif afin d'éviter les défauts de paiement.
Mais la monnaie unique était aussi fragilisée après que Benoît Coeure, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré que celle-ci avait encore les coudées franches pour réduire ses taux au besoin, sans toutefois viser d'objectif précis à ceux offerts sur les marchés financiers.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, L'EUR/GBP dérapant de 0,30% pour glisser à 0,8384.
L'Allemagne fera connaître aujourd'hui l'évolution de ses prix à la consommation, tandis que la France divulguera un rapport sur les dépenses des particuliers.
Les Etats-Unis achèveront enfin la semaine avec les chiffres révisés de l'université du Michigan portant sur l'humeur des ménages et l'inflation attendue, ainsi que d'autres concernant les revenus et les dépenses des individus.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3502 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3496, grignotant 0,06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3338, son plancher du 18 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1,3544, son plafond du 23.
La nervosité était palpable après qu'une récente série de résultats américaines aient ravivé les craintes au sujet de la relance du pays.
Il a ainsi été souligné hier que l'évaluation de la croissance du second trimestre s'y était stabilisée à 2,5%, comme la précédente, avec une augmentation de 1,8% des dépenses des ménages après celle de 2,3% constatée lors du premier.
Les angoisses liées au problème du budget fédéral ont aussi ressurgi après que le groupe des députés républicains ait refusé dans le même temps d'accéder aux demandes du président Obama, réclamant sans détour de quoi faire tourner l'administration au-delà du 30 septembre, et d'augmenter le pouvoir d'emprunt de l'exécutif afin d'éviter les défauts de paiement.
Mais la monnaie unique était aussi fragilisée après que Benoît Coeure, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré que celle-ci avait encore les coudées franches pour réduire ses taux au besoin, sans toutefois viser d'objectif précis à ceux offerts sur les marchés financiers.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, L'EUR/GBP dérapant de 0,30% pour glisser à 0,8384.
L'Allemagne fera connaître aujourd'hui l'évolution de ses prix à la consommation, tandis que la France divulguera un rapport sur les dépenses des particuliers.
Les Etats-Unis achèveront enfin la semaine avec les chiffres révisés de l'université du Michigan portant sur l'humeur des ménages et l'inflation attendue, ainsi que d'autres concernant les revenus et les dépenses des individus.