Investing.com - L'euro a pris l'avantage face au dollar U.S. lors des rares échanges de ce vendredi, aux abords de sommets de près de sept mois, son adversaire se trouvant figé par l'annonce du statu quo de son émettrice.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3542 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3536, grignotant 0,05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3338, son plancher du 18 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1,3568, son plafond le plus élevé depuis février établi hier.
La banque centrale des Etats-Unis s'est en effet retenue mercredi de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a refusé de s'engager à procéder à un tour de vis dès cette année, rappelant que les orientations "n'étaient pas prédéterminées".
Il a aussi déclaré à l'issue des deux jours de réunion qu'il souhaitait "attendre encore pour tâcher d'obtenir des preuves tangibles" d'une consolidation de l'économie sur le long terme.
Les résultats des élections législatives allemandes de dimanche seront aussi surveillés de près, la chancelière Angela Merkel briguant un troisième mandat.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,09% pour glisser à 0,8432.
Le volume des transactions semblait devoir être minime aujourd'hui, en l'absence de résultats économiques majeurs.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3542 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3536, grignotant 0,05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3338, son plancher du 18 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1,3568, son plafond le plus élevé depuis février établi hier.
La banque centrale des Etats-Unis s'est en effet retenue mercredi de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a refusé de s'engager à procéder à un tour de vis dès cette année, rappelant que les orientations "n'étaient pas prédéterminées".
Il a aussi déclaré à l'issue des deux jours de réunion qu'il souhaitait "attendre encore pour tâcher d'obtenir des preuves tangibles" d'une consolidation de l'économie sur le long terme.
Les résultats des élections législatives allemandes de dimanche seront aussi surveillés de près, la chancelière Angela Merkel briguant un troisième mandat.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,09% pour glisser à 0,8432.
Le volume des transactions semblait devoir être minime aujourd'hui, en l'absence de résultats économiques majeurs.