Investing.com - Le dollar U.S. n'a presque pas fléchi face au yen ce lundi, les observateurs demeurant nerveux sur fond d'incertitudes concernant l'accord de restructuration de la dette grecque tout en attendant un sommet européen crucial prévu dans la journée.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 1.5674 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 76.69, trébuchant de 0.01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 76.48, son plancher du 30 septembre, et de rencontrer de la résistance à 76.83, son plafond du 4 janvier.
Evangelos Venizelos, le ministre des finances grecques, a refusé hier la proposition allemande de faire inspecter la politique budgétaire nationale par une commission de l'Union Européenne.
Wolfgang Schaeuble, ministre des finances germanique, a pour sa part déclaré ce matin dans le Wall Street Journal que la zone euro pourrait refuser d'accorder à la nation hellène la prochaine tranche d'aides de secours lui étant destinées si elle ne convainquait pas la région de sa capacité à mettre en oeuvre les engagements pris dans le cadre de plans de sauvetage.
Les dirigeants de l'Union Européenne prévoyaient pour leur part de se réunir dans la journée afin de régler les derniers détails de la mise en place du traité de contrôle des déficits voulu par l'Allemagne et du fonds d'urgence permanent devant être lancé cette année.
Cette rencontre fait suite aux avertissements émanant du forum éconoomique ayant pris fin dimanche à Davos, en Suisse, selon lesquels il serait temps de mettre fin à la crise de la dette souveraine de la zone euro et les mesures actuellement appliquées ne seraient plus suffisantes.
La devise nippone a également gagné du terrain sur la monnaie unique, l'EUR/JPY trébuchant de 0.49% pour glisser à 100.88.
Le gouvernement des Etats-Unis dévoilera cet l'après-midi les sommes destinées à la consommation individuelles, puis une étude sur les dépenses des particuliers.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 1.5674 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 76.69, trébuchant de 0.01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 76.48, son plancher du 30 septembre, et de rencontrer de la résistance à 76.83, son plafond du 4 janvier.
Evangelos Venizelos, le ministre des finances grecques, a refusé hier la proposition allemande de faire inspecter la politique budgétaire nationale par une commission de l'Union Européenne.
Wolfgang Schaeuble, ministre des finances germanique, a pour sa part déclaré ce matin dans le Wall Street Journal que la zone euro pourrait refuser d'accorder à la nation hellène la prochaine tranche d'aides de secours lui étant destinées si elle ne convainquait pas la région de sa capacité à mettre en oeuvre les engagements pris dans le cadre de plans de sauvetage.
Les dirigeants de l'Union Européenne prévoyaient pour leur part de se réunir dans la journée afin de régler les derniers détails de la mise en place du traité de contrôle des déficits voulu par l'Allemagne et du fonds d'urgence permanent devant être lancé cette année.
Cette rencontre fait suite aux avertissements émanant du forum éconoomique ayant pris fin dimanche à Davos, en Suisse, selon lesquels il serait temps de mettre fin à la crise de la dette souveraine de la zone euro et les mesures actuellement appliquées ne seraient plus suffisantes.
La devise nippone a également gagné du terrain sur la monnaie unique, l'EUR/JPY trébuchant de 0.49% pour glisser à 100.88.
Le gouvernement des Etats-Unis dévoilera cet l'après-midi les sommes destinées à la consommation individuelles, puis une étude sur les dépenses des particuliers.