Investing.com - L'euro a connu ce jeudi un second jour de déclin face au yen, creusant une nouvelle ornière pour les dix dernières années après que les dernières enchères de dettes italiennes n'aient toujours pas réussi à apaiser les craintes concernant la santé fiscale de la troisième économie de la zone euro.
La paire EUR/JPY est descendue jusqu'à 100.34 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 5 juin 2001, puis s'est stabilisée vers 100.43, perdant 0.42%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 99.87, son plancher du premier juin 2001, et de rencontrer de la résistance à 101.79, son plafond d'hier.
La plupart des acteurs des marchés était déjà partie en vacances de fin d'année, réduisant les liquidités disponibles et augmentant la volatilité.
La monnaie unique s'est retrouvée sur la sellette suite à la déception causée par les ventes de dettes de l'Italie ayant eu lieu en début de journée.
Cette dernière n'a émis qu'à peine plus de 7 milliards d'euros de bons aux échéances s'étalant entre 2014 et 2022, contre un maximum de 8.5 milliards envisagé.
Ceux-ci se répartissaient en 2.5 milliards d'euros en obligationns décennales arrivant à maturité en mars 2022, à un taux moyen de 6.97%, après avoir établi en novembre un sommet à 7.56%, du jaamais vu depuis la mise en place de la devise européenne, mais aussi 2.5 milliards de dettes à trois ans, avec 5.62% de dividendes moyens.
Le taux des emprunts nationaux à dix ans est pour sa part remonté à 7.1%, dépassant légèrement le seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
Cette vente constituait le premier test de la volonté des banques européennes d'acquérir des dettes souveraines à long terme émises par les pays en difficulté de la région après l'injection la semaine dernière de 500 milliards d'euros de liquidités par la Banque Centrale Européenne.
La monnaie du pays du soleil levant a également perdu du terrain sur le dollar U.S. avec un couple USD/JPY trébuchant de 0.1% pour glisser à 77.85.
Les Etats-Unis rendront dans l'après-midi leur rapport gouvernemental hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres des ventes de logements en cours émanant des spécialiste de l'immobilier, sans oublier le baromètre de l'activité commerciale dans la région de Chicago.
La paire EUR/JPY est descendue jusqu'à 100.34 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 5 juin 2001, puis s'est stabilisée vers 100.43, perdant 0.42%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 99.87, son plancher du premier juin 2001, et de rencontrer de la résistance à 101.79, son plafond d'hier.
La plupart des acteurs des marchés était déjà partie en vacances de fin d'année, réduisant les liquidités disponibles et augmentant la volatilité.
La monnaie unique s'est retrouvée sur la sellette suite à la déception causée par les ventes de dettes de l'Italie ayant eu lieu en début de journée.
Cette dernière n'a émis qu'à peine plus de 7 milliards d'euros de bons aux échéances s'étalant entre 2014 et 2022, contre un maximum de 8.5 milliards envisagé.
Ceux-ci se répartissaient en 2.5 milliards d'euros en obligationns décennales arrivant à maturité en mars 2022, à un taux moyen de 6.97%, après avoir établi en novembre un sommet à 7.56%, du jaamais vu depuis la mise en place de la devise européenne, mais aussi 2.5 milliards de dettes à trois ans, avec 5.62% de dividendes moyens.
Le taux des emprunts nationaux à dix ans est pour sa part remonté à 7.1%, dépassant légèrement le seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
Cette vente constituait le premier test de la volonté des banques européennes d'acquérir des dettes souveraines à long terme émises par les pays en difficulté de la région après l'injection la semaine dernière de 500 milliards d'euros de liquidités par la Banque Centrale Européenne.
La monnaie du pays du soleil levant a également perdu du terrain sur le dollar U.S. avec un couple USD/JPY trébuchant de 0.1% pour glisser à 77.85.
Les Etats-Unis rendront dans l'après-midi leur rapport gouvernemental hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres des ventes de logements en cours émanant des spécialiste de l'immobilier, sans oublier le baromètre de l'activité commerciale dans la région de Chicago.