Investing.com - L'euro a sauvé les meubles face au dollar U.S. ce mardi, mais subissait un regain des rumeurs de baisse des taux de la région où il a cours après qu'il ait été montré que le chômage y avait atteint des records le mois dernier et que l'inflation avait nettement diminué en avril.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1,3053, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1,3072 en première partie de séance européenne, perdant tout de même 0,12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3030, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,3119, son plafond du jour.
Le billet vert demeurait friable dans l'expectative de la réunion que la Réserve Fédérale tiendra demain, en quête de signes préfigurant ses orientations futures.
Les récentes contre-performances américaines ont en effet étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée de ses injections de capitaux, bien que les derniers compte-rendus aient souligné que certains de ses décideurs se posaient des questions sur leur efficacité.
Une étude européenne a pour sa part révélé que le taux de chômage du bloc ayant adopté la monnaie unique s'était élevé depuis 12,0 jusqu'à 12,1% en mars, son plus haut niveau historique, 62.000 personnes supplémentaires ayant perdu leur poste.
L'Espagne crevait d'ailleurs tous les plafonds avec 26,7% de demandeurs d'emploi, après qu'une aggravation de 0,5% de sa récession ait déjà été déplorée sans surprise pour le premier trimestre ce matin.
Il était cependant à noter que l'inflation annuelle des prix au détail avait plongé depuis 1,7 vers 1,2% pour le mois en cours, son plus haut niveau en trois ans, bien au-dessous des 1,6% envisagés.
Des propos récemment tenus par les hauts représentants de la Banque Centrale Européenne laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
Sa devise demeurait par ailleurs engluée dans ses ornières du jour par rapport à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP reculant de 0,19% pour se retrouver à 0,8434 et l'EUR/JPY dérapant de 0,42% pour glisser à 127,53.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le baromètre de la confiance de leurs consommateurs et une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier fourniront leurs chiffres de l'inflation des prix des habitations.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1,3053, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1,3072 en première partie de séance européenne, perdant tout de même 0,12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3030, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,3119, son plafond du jour.
Le billet vert demeurait friable dans l'expectative de la réunion que la Réserve Fédérale tiendra demain, en quête de signes préfigurant ses orientations futures.
Les récentes contre-performances américaines ont en effet étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée de ses injections de capitaux, bien que les derniers compte-rendus aient souligné que certains de ses décideurs se posaient des questions sur leur efficacité.
Une étude européenne a pour sa part révélé que le taux de chômage du bloc ayant adopté la monnaie unique s'était élevé depuis 12,0 jusqu'à 12,1% en mars, son plus haut niveau historique, 62.000 personnes supplémentaires ayant perdu leur poste.
L'Espagne crevait d'ailleurs tous les plafonds avec 26,7% de demandeurs d'emploi, après qu'une aggravation de 0,5% de sa récession ait déjà été déplorée sans surprise pour le premier trimestre ce matin.
Il était cependant à noter que l'inflation annuelle des prix au détail avait plongé depuis 1,7 vers 1,2% pour le mois en cours, son plus haut niveau en trois ans, bien au-dessous des 1,6% envisagés.
Des propos récemment tenus par les hauts représentants de la Banque Centrale Européenne laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
Sa devise demeurait par ailleurs engluée dans ses ornières du jour par rapport à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP reculant de 0,19% pour se retrouver à 0,8434 et l'EUR/JPY dérapant de 0,42% pour glisser à 127,53.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le baromètre de la confiance de leurs consommateurs et une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, tandis que leurs spécialistes de l'immobilier fourniront leurs chiffres de l'inflation des prix des habitations.