Investing.com - Les options sur le brut étaient à la hausse ce mardi, se rapprochant de leur pic des 26 derniers mois sur fond de faible volume des transactions de fin d'année et de rumeurs de demande en carburant domestique alimentées par la rigueur de l'hiver américain.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 91.28 USD le baril en seconde partie de séance européenne, gagnant 0.53%.
Ils avaient auparavant culminé à 91.44 USD, leur cours le plus élevé de la journée.
Les cours ont été stimulés par les prévisions de températures inférieures aux normales saisonnières dans le nord-est des Etats-Unis, New York ayant notamment subi en fin de semaine les plus fortes chutes de neige pour décembre des 60 dernières années, augmentant les besoins en fioul.
D'après l'agence météorologique AccuWeather, le vent a poussé ce matin la froidure ressentie par la ville jusqu'à -10°C.
La côte est américaine représente le plus gros marché national pour le carburant domestique, dont environ 160 litres ou 42 gallons sont produits à partir d'un baril de brut.
Le pourvoyeur international de services financiers Commerzbank a affirmé dans un article paru aujourd'hui que: "Les pétrole est à peu près à l'équilibre entre les informations positives provenant du mauvais temps aux Etats-Unis et les craintes liées à la récente hausse des taux d'intérêt chinois".
Le document précisait également: "Il ne faut pas s'attendre cette semaine à des mouvements importants dans un sens comme dans l'autre, les échanges restant très sporadiques. Quand les traders seront de retour à New York, la tendance apparaîtra plus clairement."
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a glissé de son côté de 0.57%.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs perdu 0.52% pour s'échanger à 4.133 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour janvier ont raflé 0.5% pour s'établir à 2.523 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 91.28 USD le baril en seconde partie de séance européenne, gagnant 0.53%.
Ils avaient auparavant culminé à 91.44 USD, leur cours le plus élevé de la journée.
Les cours ont été stimulés par les prévisions de températures inférieures aux normales saisonnières dans le nord-est des Etats-Unis, New York ayant notamment subi en fin de semaine les plus fortes chutes de neige pour décembre des 60 dernières années, augmentant les besoins en fioul.
D'après l'agence météorologique AccuWeather, le vent a poussé ce matin la froidure ressentie par la ville jusqu'à -10°C.
La côte est américaine représente le plus gros marché national pour le carburant domestique, dont environ 160 litres ou 42 gallons sont produits à partir d'un baril de brut.
Le pourvoyeur international de services financiers Commerzbank a affirmé dans un article paru aujourd'hui que: "Les pétrole est à peu près à l'équilibre entre les informations positives provenant du mauvais temps aux Etats-Unis et les craintes liées à la récente hausse des taux d'intérêt chinois".
Le document précisait également: "Il ne faut pas s'attendre cette semaine à des mouvements importants dans un sens comme dans l'autre, les échanges restant très sporadiques. Quand les traders seront de retour à New York, la tendance apparaîtra plus clairement."
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a glissé de son côté de 0.57%.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs perdu 0.52% pour s'échanger à 4.133 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour janvier ont raflé 0.5% pour s'établir à 2.523 USD par gallon dans le même temps.