Investing.com - Les bourses européennes étaient en repli lors des échanges chaotiques de ce mardi matin, malgré une belle performance de l'Espagne sur le front de l'emploi, dans l'ombre persistante du flou dans les orientations futures de la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 se repliait de 0,27%, le CAC 40 français de 0,28%, et le DAX 30 allemand de 0,49%.
Les autorités de Madrid ont en effet dénombré 127.200 chômeurs de moins pour juin, prolongeant les 98.300 précédents.
Les experts ne pensaient pourtant pas voir cette soustraction dépasser les 83.500 pour la période considérée.
Les yeux se tournaient désormais vers les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La finance était sans direction claire, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,78%, suivie du français Société Générale avec 0,36%, dont le compatriote BNP Paribas empochait par contre 0,65%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander encaissant 0,45%, l'italien Unicredit lui emboîtant le pas avec 0,15% alors qu'Intesa Sanpaolo trébuchait de 0,16%.
En France, Michelin, premier fabricant de pneus du continent, arrachait par contre 2,62% après qu'UBS AG en ait recommandé l'achat.
A Francfort, le fournisseur de composants électroniques Dialog Semiconductor, dont les produits sont utilisés dans l'iPhone d'Apple, était aussi en pointe avec 3,35%, ayant accepter d'acquérir IWatt Inc. pour une somme qui pourrait atteindre 345 millions d'USD.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, sombrait de 0,13%, bien que les avancées de ses exploitants et extracteurs aient contribué à le soutenir.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient respectivement 1,55 et 3,06%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 1,12%, leur rival Polymetal n'étant pas en reste avec 5,09%.
La City était quand à elle majoritairement sur la défensive, Barclays limitant les dégâts à 0,32%, HSBC Holdings à 0,32% et la Royal Bank of Scotland à 0,53%, tandis que Lloyds Banking émergeait toutefois de 0,78%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,36%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,50%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des commandes passées auprès de leurs usines.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 se repliait de 0,27%, le CAC 40 français de 0,28%, et le DAX 30 allemand de 0,49%.
Les autorités de Madrid ont en effet dénombré 127.200 chômeurs de moins pour juin, prolongeant les 98.300 précédents.
Les experts ne pensaient pourtant pas voir cette soustraction dépasser les 83.500 pour la période considérée.
Les yeux se tournaient désormais vers les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La finance était sans direction claire, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,78%, suivie du français Société Générale avec 0,36%, dont le compatriote BNP Paribas empochait par contre 0,65%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander encaissant 0,45%, l'italien Unicredit lui emboîtant le pas avec 0,15% alors qu'Intesa Sanpaolo trébuchait de 0,16%.
En France, Michelin, premier fabricant de pneus du continent, arrachait par contre 2,62% après qu'UBS AG en ait recommandé l'achat.
A Francfort, le fournisseur de composants électroniques Dialog Semiconductor, dont les produits sont utilisés dans l'iPhone d'Apple, était aussi en pointe avec 3,35%, ayant accepter d'acquérir IWatt Inc. pour une somme qui pourrait atteindre 345 millions d'USD.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, sombrait de 0,13%, bien que les avancées de ses exploitants et extracteurs aient contribué à le soutenir.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient respectivement 1,55 et 3,06%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 1,12%, leur rival Polymetal n'étant pas en reste avec 5,09%.
La City était quand à elle majoritairement sur la défensive, Barclays limitant les dégâts à 0,32%, HSBC Holdings à 0,32% et la Royal Bank of Scotland à 0,53%, tandis que Lloyds Banking émergeait toutefois de 0,78%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,36%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,50%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des commandes passées auprès de leurs usines.