Investing.com - Le dollar U.S. était modérémént en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi matin, laissant l'avantage à son homologue japonais, mais prenant le dessus contre l'européen et le britannique, dans l'expectative des prises de cap des émettrices de ces deux derniers, à la veille des chiffres de la masse salariale américaine.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY dérapant de 0,22% pour glisser à 99,68.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,08% pour tomber à 1,2999.
La Banque Centrale Européenne ne modifiera probablement pas aujourd'hui son taux d'intérêt directeur, et a toutes les chances de rappeler que la fin des politiques assouplies est loin d'être en vue.
Les angoisses découlant de la crise politique du Portugal se sont quelque peu apaisées grâce à l'espoir d'un maintien en place du gouvernement de coalition grâce aux pourparlers entre ses membres ayant eu lieu dans la soirée.
Son futur avait en effet été remis en question après que son ministre des finances et celui des affaires étrangères aient causé en début de semaine un choc en libérant leurs postes, face à l'impopularité de ses mesures d'austérité.
Les yeux se tournaient désormais pour demain vers les chiffres de la masse salariale américaine, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La création de 180.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour le mois avait déjà été signalée hier, alors que les experts ne pensaient pourtant pas en voir plus de 160.000.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD se rétractant de 0,20% pour chuter à 1,5248, aux abords d'une ornière journalière.
La Banque d'Angleterre a de fortes probabilités d'opter pour le statu quo à l'issue de sa première prise de cap mensuelle imminente sous la houlette de son nouveau gouverneur, Mark Carney.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,21% pour culminer à 0,9482.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD empochant 0,47% pour se retrouver à 0,9127, le NZD/USD arrachant 0,28% pour culminer à 0,7800 et l'USD/CAD prenant 0,06% pour monter à 1,0509.
La première avait retrouvé des couleurs à l'aube, après que le gouverneur adjoint de la Réserve Bancaire d'Australie ait déploré que les propos tenus hier par son supérieur Glenn Stevens aient été interprêtés de manière erronée par les acteurs des marchés.
Celui-ci avait avoué que son conseil directeur avait "délibéré pendant très longtemps" hier avant d'opter pour le maintien de son taux de base, alimentant les rumeurs d'un rabaissement prochain.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,10% pour se situer à 83,47.
Les volumes des transactions de la journée seront sans doute minimes, les places des Etats-Unis demeurant inactives pour cause de fête de l'indépendance.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY dérapant de 0,22% pour glisser à 99,68.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,08% pour tomber à 1,2999.
La Banque Centrale Européenne ne modifiera probablement pas aujourd'hui son taux d'intérêt directeur, et a toutes les chances de rappeler que la fin des politiques assouplies est loin d'être en vue.
Les angoisses découlant de la crise politique du Portugal se sont quelque peu apaisées grâce à l'espoir d'un maintien en place du gouvernement de coalition grâce aux pourparlers entre ses membres ayant eu lieu dans la soirée.
Son futur avait en effet été remis en question après que son ministre des finances et celui des affaires étrangères aient causé en début de semaine un choc en libérant leurs postes, face à l'impopularité de ses mesures d'austérité.
Les yeux se tournaient désormais pour demain vers les chiffres de la masse salariale américaine, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La création de 180.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour le mois avait déjà été signalée hier, alors que les experts ne pensaient pourtant pas en voir plus de 160.000.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD se rétractant de 0,20% pour chuter à 1,5248, aux abords d'une ornière journalière.
La Banque d'Angleterre a de fortes probabilités d'opter pour le statu quo à l'issue de sa première prise de cap mensuelle imminente sous la houlette de son nouveau gouverneur, Mark Carney.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,21% pour culminer à 0,9482.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD empochant 0,47% pour se retrouver à 0,9127, le NZD/USD arrachant 0,28% pour culminer à 0,7800 et l'USD/CAD prenant 0,06% pour monter à 1,0509.
La première avait retrouvé des couleurs à l'aube, après que le gouverneur adjoint de la Réserve Bancaire d'Australie ait déploré que les propos tenus hier par son supérieur Glenn Stevens aient été interprêtés de manière erronée par les acteurs des marchés.
Celui-ci avait avoué que son conseil directeur avait "délibéré pendant très longtemps" hier avant d'opter pour le maintien de son taux de base, alimentant les rumeurs d'un rabaissement prochain.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,10% pour se situer à 83,47.
Les volumes des transactions de la journée seront sans doute minimes, les places des Etats-Unis demeurant inactives pour cause de fête de l'indépendance.