Investing.com - La livre sterling est demeurée en berne face au dollar U.S. ce mardi après-midi, les craintes concernant les perspectives économiques mondiales et les coûts des emprunts des membres périphériques de la zone euro soutenant la demande pour les valeurs sûres.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.581 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5855, perdant 0.22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.5804, son plancher du 5 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.593, son plafond hebdomadaire datant d'aujoud'hui.
L'angoisse découlant des coûts des emprunts espagnols est également montée d'un cran après que les taux des bons décennaux espagnols se soient élevés dans la matinée à 5.9%, contre 5.8% précédemment, laissant à craindre que le pays ne doive lui aussi avoir recours à une bouée de sauvetage.
Cette augmentation a eu lieu malgré les assurances de Mariano Rajoy, premier ministre du pays, confirmant son objectif de réduire les déficits budgétaires à 3% du produit intérieur brut pour l'année prochaine.
La déception des faibles résultats de l'emploi non agricole américain divulgués en fin de semaine continuait quand à elle à raviver l'hypothèse d'une nouvelle série d'injections de capitaux de la part de la Réserve Fédérale.
La devise de la Grande-Bretagne avait été ragaillardie dans la matinée par les spécialistes de l'immobilier britannique, signalant que les coûts des logements nationaux avaient subi le mois dernier leur plus faible diminution depuis juin 2010.
L'indice du solde des prix des habitations établi par l'institut royal des géomètres agréés RICS est en effet remonté de -13 à -10 ajustés saisonnièrement pour la période considérée, dépassant ainsi les -12 espérés.
Ces informations venaient confirmer la tendance positive concernant les domaines manufacturier, tertiaire et du bâtiment du pays dégagnée la semaine dernière, rassurant ainsi les acteurs des marchés quand au risque d'un retour en récession de celui-ci.
La monnaie du Royaume-Uni a également perdu du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP prenant 0.29% pour monter à 0.8271.
Une étude émanant des autorités françaises avait montré de son côté que la production industrielle nationale avait davantage augmenté en février qu'espéré, gagnant 0.3% alors que les experts s'attendaient un score de 0.2%, apaisant quelque peu les doutes planant sur la seconde économie de la zone euro.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.581 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5855, perdant 0.22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.5804, son plancher du 5 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.593, son plafond hebdomadaire datant d'aujoud'hui.
L'angoisse découlant des coûts des emprunts espagnols est également montée d'un cran après que les taux des bons décennaux espagnols se soient élevés dans la matinée à 5.9%, contre 5.8% précédemment, laissant à craindre que le pays ne doive lui aussi avoir recours à une bouée de sauvetage.
Cette augmentation a eu lieu malgré les assurances de Mariano Rajoy, premier ministre du pays, confirmant son objectif de réduire les déficits budgétaires à 3% du produit intérieur brut pour l'année prochaine.
La déception des faibles résultats de l'emploi non agricole américain divulgués en fin de semaine continuait quand à elle à raviver l'hypothèse d'une nouvelle série d'injections de capitaux de la part de la Réserve Fédérale.
La devise de la Grande-Bretagne avait été ragaillardie dans la matinée par les spécialistes de l'immobilier britannique, signalant que les coûts des logements nationaux avaient subi le mois dernier leur plus faible diminution depuis juin 2010.
L'indice du solde des prix des habitations établi par l'institut royal des géomètres agréés RICS est en effet remonté de -13 à -10 ajustés saisonnièrement pour la période considérée, dépassant ainsi les -12 espérés.
Ces informations venaient confirmer la tendance positive concernant les domaines manufacturier, tertiaire et du bâtiment du pays dégagnée la semaine dernière, rassurant ainsi les acteurs des marchés quand au risque d'un retour en récession de celui-ci.
La monnaie du Royaume-Uni a également perdu du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP prenant 0.29% pour monter à 0.8271.
Une étude émanant des autorités françaises avait montré de son côté que la production industrielle nationale avait davantage augmenté en février qu'espéré, gagnant 0.3% alors que les experts s'attendaient un score de 0.2%, apaisant quelque peu les doutes planant sur la seconde économie de la zone euro.