Investing.com - La livre sterling a vu son retard sur le dollar U.S. se creuser ce lundi, plongeant vers un creux des cinq dernières semainess, la peur du risque empirant après l'échec des négociations visant à la réduction des déficits américains, tandis que planait toujours le spectre d'une extension de la crise de la dette souveraine de la zone euro.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5634 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 18 octobre, puis s'est stabilisée vers 1.5649, plongeant de 0.98%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.5631, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.5797, son plafond du jour.
L'absence de consensus dégagé par le "super-comité" parlementaire des Etats-Unis concernant un plan de réduction des déficits nationaux de 1.2 billions d'USD sur 10 ans a en effet déclenché une vague de reventes d'actifs risqués.
L'écart des taux entre les emprunts à 10 ans espagnols et leurs homologues allemands a encore augmenté dans la matinée, les observateurs demeurant nerveux malgré l'élection d'un nouveau gouvernement qui devrait imposer un plan de rigueur draconien.
L'agence de notation Moody's Investor Services a d'autre part affirmé qu'une hausse des dividendes des obligations françaises et un affaiblissement des perspectives de croissance nationales pourrait nuire à sa notation future.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait sur la sellette après qu'un membre éminent du conseil directeur de la Banque d'Angleterre ait avoué qu'il y aurait "de très bonnes raisons" pour augmenter le volume du plan d'assouplissement de cette dernière l'année prochaine.
Elle a également perdu du terrain sur la monnaie unique, l'EUR/GBP gagnant 0.47% pour se hisser à 0.8598.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis avaient quand à eux prévu de dévoiler leurs chiffres des ventes de logements d'occasion dans l'après-midi.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5634 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 18 octobre, puis s'est stabilisée vers 1.5649, plongeant de 0.98%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.5631, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.5797, son plafond du jour.
L'absence de consensus dégagé par le "super-comité" parlementaire des Etats-Unis concernant un plan de réduction des déficits nationaux de 1.2 billions d'USD sur 10 ans a en effet déclenché une vague de reventes d'actifs risqués.
L'écart des taux entre les emprunts à 10 ans espagnols et leurs homologues allemands a encore augmenté dans la matinée, les observateurs demeurant nerveux malgré l'élection d'un nouveau gouvernement qui devrait imposer un plan de rigueur draconien.
L'agence de notation Moody's Investor Services a d'autre part affirmé qu'une hausse des dividendes des obligations françaises et un affaiblissement des perspectives de croissance nationales pourrait nuire à sa notation future.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait sur la sellette après qu'un membre éminent du conseil directeur de la Banque d'Angleterre ait avoué qu'il y aurait "de très bonnes raisons" pour augmenter le volume du plan d'assouplissement de cette dernière l'année prochaine.
Elle a également perdu du terrain sur la monnaie unique, l'EUR/GBP gagnant 0.47% pour se hisser à 0.8598.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis avaient quand à eux prévu de dévoiler leurs chiffres des ventes de logements d'occasion dans l'après-midi.