Investing.com - L'euro a légèrement pris le dessus contre le dollar U.S. ce jeudi, malgré les résultats économiques décevants de la zone euro révélés hier, et la persistance des doutes concernant la viabilité de l'accord sur la dette grecque.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3288 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis mardi, puis s'est stabilisée vers 1.3283, prenant 0.26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3171, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.332, son plafond des deux derniers mois datant du 9 février.
L'angoisse de l'impact de la crise de la dette souveraine de la zone euro est revenue hier au premier plan, après que des estimations préliminaires aient montré que l'activité manufacturière régionale avait moins progressé en février qu'espéré, demeurant en recul pour le septième mois d'affilée, tandis que la tertiaire subissait un repli inattendu.
La question de savoir si les 130 milliards d'euros du second plan de sauvetage suffiront à résoudre les problèmes fiscaux de la Grèce se posait encore après que l'agence Fitch en ait rabaissé la notation de CCC à C, et insisté sur le fait qu'elle estimait que l'accord d'échange d'obligations avec les créanciers privés constituerait un défaut de paiement, même limité, dans son barème.
La monnaie unique a aussi gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, avec un couple EUR/GBP grignotant 0.09% pour se hisser à 0.8463.
L'institut Ifo pour la recherche économique devrait dévoiler aujourd'hui son état du baromètre des affaires allemandes, tandis que les autorités des Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3288 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis mardi, puis s'est stabilisée vers 1.3283, prenant 0.26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3171, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.332, son plafond des deux derniers mois datant du 9 février.
L'angoisse de l'impact de la crise de la dette souveraine de la zone euro est revenue hier au premier plan, après que des estimations préliminaires aient montré que l'activité manufacturière régionale avait moins progressé en février qu'espéré, demeurant en recul pour le septième mois d'affilée, tandis que la tertiaire subissait un repli inattendu.
La question de savoir si les 130 milliards d'euros du second plan de sauvetage suffiront à résoudre les problèmes fiscaux de la Grèce se posait encore après que l'agence Fitch en ait rabaissé la notation de CCC à C, et insisté sur le fait qu'elle estimait que l'accord d'échange d'obligations avec les créanciers privés constituerait un défaut de paiement, même limité, dans son barème.
La monnaie unique a aussi gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, avec un couple EUR/GBP grignotant 0.09% pour se hisser à 0.8463.
L'institut Ifo pour la recherche économique devrait dévoiler aujourd'hui son état du baromètre des affaires allemandes, tandis que les autorités des Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.