Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, le retour de l'audace ayant affaibli la demande pour la monnaie des Etats-Unis dans l'attente des résultats immobiliers du pays.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD bondissant de 0.92% pour grimper à 1.3512.
Le succès des ventes de dettes à court terme allemandes et portugaises du début de journée, en conjonction avec les achats nationaux asiatiques, ont renforcé la monnaie unique.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.4% pour se hisser à 1.6027.
Des résultats émanant ce matin de sources gouvernementales avaient montré une chute inattendue du nombre de bénéficiaires des allocations chômage britanniques en décembre, tandis que le nombre de personnes sans emploi au quatrième trimestre connaissait sa plus forte hausse depuis mars 2010.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY dérapant de 0.58% pour se retrouver à 82.07 et l'USD/CHF glissant de 0.45% pour tomber à 0.959.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD tombant de 0.15% vers 0.9895, l'AUD/USD raflant 0.82% pour monter à 1.0073 et le NZD/USD engrangeant 0.81% pour culminer à 0.778.
Une étude conjointe de la Westpac Banking Corp. et du Melbourne Institute avait souligné ce matin que la confiance des consommateurs australiens était tombée en janvier à son pire niveau des 7 mois écoulés en raison de l'inquiétude concernant l'impact des inondations catastrophiques du Queensland sur l'économie nationale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, s'est effondré de 0.81%.
Les autorités des Etats-Unis avaient prévu de dévoiler en cours de journée le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi qu'un rapport sur les départs de chantiers.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD bondissant de 0.92% pour grimper à 1.3512.
Le succès des ventes de dettes à court terme allemandes et portugaises du début de journée, en conjonction avec les achats nationaux asiatiques, ont renforcé la monnaie unique.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.4% pour se hisser à 1.6027.
Des résultats émanant ce matin de sources gouvernementales avaient montré une chute inattendue du nombre de bénéficiaires des allocations chômage britanniques en décembre, tandis que le nombre de personnes sans emploi au quatrième trimestre connaissait sa plus forte hausse depuis mars 2010.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY dérapant de 0.58% pour se retrouver à 82.07 et l'USD/CHF glissant de 0.45% pour tomber à 0.959.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD tombant de 0.15% vers 0.9895, l'AUD/USD raflant 0.82% pour monter à 1.0073 et le NZD/USD engrangeant 0.81% pour culminer à 0.778.
Une étude conjointe de la Westpac Banking Corp. et du Melbourne Institute avait souligné ce matin que la confiance des consommateurs australiens était tombée en janvier à son pire niveau des 7 mois écoulés en raison de l'inquiétude concernant l'impact des inondations catastrophiques du Queensland sur l'économie nationale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, s'est effondré de 0.81%.
Les autorités des Etats-Unis avaient prévu de dévoiler en cours de journée le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi qu'un rapport sur les départs de chantiers.