Investing.com - Les bourses européennes étaient en bonne forme ce mercredi, après que les taux des emprunts italiens soient redescendus sous le seuil de 7%, largement considéré comme non viable sur le long terme, alors qu'il se disait que la Banque Centrale Européenne en faisant vraisemblablement l'acquisition.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 1.22%, le CAC 40 français de 0.91%, et le DAX 30 allemand de 0.81%.
Le moral des investisseurs avait auparavant été plombé par la hausse des taux des obligations à 10 ans de la France vers des sommets jamais observés depuis l'introduction de l'euro, tandis que leurs homologues italiennes frôlaient des niveaux intenables en dépassant les 7%.
Mario Monti, premier ministre italien en devenir, rencontrera dans l'après-midi le président Giorgio Napolitano afin d'accepter formellement son poste et présenter son équipe de ministres.
La finance a servi de locomotive, menée par l'italien Unicredit engrangeant 2.77% et son compatriote Intesa Sanpaolo 2.63%.
La France n'était pas en reste, la Société Générale gagnant 1.93%, BNP Paribas 0.73%, et la Deutsche Bank allemande 1.48%.
La Société Générale avait annoncé en début de matinée un plan de suppression de plusieurs centaines d'emplois danss sa branche d'affaires en 2012, invoquant le besoin de se conformer aux nouvelles règles sur les fonds propres bancaires.
Le constructeur automobile PEugeot Citroën a grignoté 0.34%, compensant les pertes subies hier suite à la présentation d'un plan de destruction de 5 000 postes dans le pays, après avoir déjà laissé entrevoir le mois derniers pas moins de 6 000 licenciements en Europe.
A Londres, le FTSE 100 a grimpé de 0.27%, tiré vers le haut par son secteur financier.
Barclays a conquis 0.78%, Lloyds Banking 0.48%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdiings se contentant de respectivement 0.38 et 0.21%.
Le domaine énergétique demeurait plus mitigé, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 1.16 et 0.52%, tandis que British Petroleum encaissait 0.17%.
L'agence de recrutement britannique Michael Page International s'est quand à elle envolée de 3.51% après que HSBC en ait amélioré la recommandation pour en faire un acteur majeur.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois en demi-teinte: les options sur le Dow Jones prévoyaient un recul de 0.02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.03%.
La zone euro devrait dévoiler aujourd'hui l'évolution officielle de ses prix à la consommation.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 1.22%, le CAC 40 français de 0.91%, et le DAX 30 allemand de 0.81%.
Le moral des investisseurs avait auparavant été plombé par la hausse des taux des obligations à 10 ans de la France vers des sommets jamais observés depuis l'introduction de l'euro, tandis que leurs homologues italiennes frôlaient des niveaux intenables en dépassant les 7%.
Mario Monti, premier ministre italien en devenir, rencontrera dans l'après-midi le président Giorgio Napolitano afin d'accepter formellement son poste et présenter son équipe de ministres.
La finance a servi de locomotive, menée par l'italien Unicredit engrangeant 2.77% et son compatriote Intesa Sanpaolo 2.63%.
La France n'était pas en reste, la Société Générale gagnant 1.93%, BNP Paribas 0.73%, et la Deutsche Bank allemande 1.48%.
La Société Générale avait annoncé en début de matinée un plan de suppression de plusieurs centaines d'emplois danss sa branche d'affaires en 2012, invoquant le besoin de se conformer aux nouvelles règles sur les fonds propres bancaires.
Le constructeur automobile PEugeot Citroën a grignoté 0.34%, compensant les pertes subies hier suite à la présentation d'un plan de destruction de 5 000 postes dans le pays, après avoir déjà laissé entrevoir le mois derniers pas moins de 6 000 licenciements en Europe.
A Londres, le FTSE 100 a grimpé de 0.27%, tiré vers le haut par son secteur financier.
Barclays a conquis 0.78%, Lloyds Banking 0.48%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdiings se contentant de respectivement 0.38 et 0.21%.
Le domaine énergétique demeurait plus mitigé, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 1.16 et 0.52%, tandis que British Petroleum encaissait 0.17%.
L'agence de recrutement britannique Michael Page International s'est quand à elle envolée de 3.51% après que HSBC en ait amélioré la recommandation pour en faire un acteur majeur.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois en demi-teinte: les options sur le Dow Jones prévoyaient un recul de 0.02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.03%.
La zone euro devrait dévoiler aujourd'hui l'évolution officielle de ses prix à la consommation.