Investing.com - Les bourses européennes étaient mitigées lors des échanges houleux de ce mardi, la prudence étant le maître-mot dans l'attente des pourparlers entre les dirigeants du groupe des 7 pays les plus développés et de la publication de résultats économiques de la zone euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.31%, et le CAC 40 français de 0.64%, mais le DAX 30 allemand cédait 0.05%.
Le moral est en effet revenu dans l'attente de la téléconférence des ministres des finances du G7 avoir lieu dans la journée pour évoquer la situation du bloc euro.
La confiance se trouvait soutenue par l'attente de nouvelles mesures d'assouplissement de la part de la Banque Centrale Européenne lors de sa réunion d'orientation de demain, afin d'aider à stabiliser les marchés.
Mais la prudence restait de mise sur fond de crainte persistante d'une absence de cnsensus parmi les différentes autorités sur la manière de renflouer un secteur bancaire espagnol en pleine déconfiture.
La finance se trouvait du coup en demi-teinte, les français BNP Paribas et Société Générale bondissant respectivement de 1.66 et 0.76%, tandis que la Deutsche Bank allemande laissait échapper 0.49%.
L'entrepreneur espagnol Ferrovial a pour sa part récolté 1.37% après avoir rempoorté la semaine passée un appel d'offres pour faire part d'un projet de construction de nouveaux quais à Puerto Bolívar, au nord de la Colombie, afin de faciliter l'amarrage des bateaux et leur chargement en minerai provenant de Cerrejon.
Le cimentier suisse Holcim a lui aussi pris 1.37% après que Bernard Fontana, son directeur général, ait déclaré que le groupe vendrait cette année une "sélection" de ses branches, dans l'optique d'un programme de réduction des coûts, tout en diminuant les investissements visant son expansion.
Il était par contre à noter que les télécommunications avaient du plomb dans l'aile, Telecom Italia plongeant de 2.02% et France Telecom de 0.88%.
Deutsche Lufthansa, second transporteur aérien d'Europe, se trouvait parmi les lanternes rouges pour la deuxième fois d'affilée, laissant échapper 0.82% après que le quotidien Financial Times Deutschland ait révélé hier son intention de revendre sa branche alimentaire LSG Sky Chefs, pourtant en bonne santé, afin de se concentrer sur son coeur de métier.
Les places boursières londoniennes restaient quand à elles inactives pour cause de fête nationale.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.27%.
La zone euro révèlera aujourd'hui le volume officiel de ses ventes au détail, imitée par l'Allemagne avec le volume des commandes passées auprès de ses usines.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements rendra de son côté un rapport sur l'activité non manufacturière.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.31%, et le CAC 40 français de 0.64%, mais le DAX 30 allemand cédait 0.05%.
Le moral est en effet revenu dans l'attente de la téléconférence des ministres des finances du G7 avoir lieu dans la journée pour évoquer la situation du bloc euro.
La confiance se trouvait soutenue par l'attente de nouvelles mesures d'assouplissement de la part de la Banque Centrale Européenne lors de sa réunion d'orientation de demain, afin d'aider à stabiliser les marchés.
Mais la prudence restait de mise sur fond de crainte persistante d'une absence de cnsensus parmi les différentes autorités sur la manière de renflouer un secteur bancaire espagnol en pleine déconfiture.
La finance se trouvait du coup en demi-teinte, les français BNP Paribas et Société Générale bondissant respectivement de 1.66 et 0.76%, tandis que la Deutsche Bank allemande laissait échapper 0.49%.
L'entrepreneur espagnol Ferrovial a pour sa part récolté 1.37% après avoir rempoorté la semaine passée un appel d'offres pour faire part d'un projet de construction de nouveaux quais à Puerto Bolívar, au nord de la Colombie, afin de faciliter l'amarrage des bateaux et leur chargement en minerai provenant de Cerrejon.
Le cimentier suisse Holcim a lui aussi pris 1.37% après que Bernard Fontana, son directeur général, ait déclaré que le groupe vendrait cette année une "sélection" de ses branches, dans l'optique d'un programme de réduction des coûts, tout en diminuant les investissements visant son expansion.
Il était par contre à noter que les télécommunications avaient du plomb dans l'aile, Telecom Italia plongeant de 2.02% et France Telecom de 0.88%.
Deutsche Lufthansa, second transporteur aérien d'Europe, se trouvait parmi les lanternes rouges pour la deuxième fois d'affilée, laissant échapper 0.82% après que le quotidien Financial Times Deutschland ait révélé hier son intention de revendre sa branche alimentaire LSG Sky Chefs, pourtant en bonne santé, afin de se concentrer sur son coeur de métier.
Les places boursières londoniennes restaient quand à elles inactives pour cause de fête nationale.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.27%.
La zone euro révèlera aujourd'hui le volume officiel de ses ventes au détail, imitée par l'Allemagne avec le volume des commandes passées auprès de ses usines.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements rendra de son côté un rapport sur l'activité non manufacturière.