Investing.com - La livre sterling a légèrement progressé face au dollar U.S. ce lundi, l'angoisse d'une sortie grecques hors de la zone euro ayant été légèrement dissipée après qu'un sondage ait placé en fin de semaine les partis favorables au plan de secours en tête pour les élections législatives du mois prochain.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5717 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 24 mai, puis s'est stabilisée vers 1.5701, prenant 0.23%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5629, son plancher de plus de deux mois datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.577, son plafond du 23 mai.
L'épouvantail d'un départ chaotique de la Grèce hors du bloc ayant adopté la monnaie unique a en effet perdu des plumes après que l'échantillon interrogé ait indiqué hier que le parti conservateur pourrait être en mesure de former un nouveau gouvernement après le scrutin du 17 juin, alors que les urnes avaient mené en mai vers une impasse politique.
Mais l'inquiétude s'est trouvée ravivée par la santé incertaine du secteur bancaire espagnol, après que Madrid ait annoncé dimanche compter renflouer Bankia, un des plus gros établissements financiers nationaux.
Cette nouvelle a ravivé la crainte que la hausse du coût des sauvetages bancaires ne pousse le pays à recourir à un plan de sauvetage international.
La devise de la Grande-Bretagne a par contre cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.36% pour se hisser à 0.8018.
Les transactions avaient peu de chances d'être très nombreuses en ce lundi de pentecôte, entraînant l'inactivité de la plupart des places européennes, tandis que celles des Etats-Unis devaient faire de même pour cause de memorial day.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5717 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 24 mai, puis s'est stabilisée vers 1.5701, prenant 0.23%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5629, son plancher de plus de deux mois datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.577, son plafond du 23 mai.
L'épouvantail d'un départ chaotique de la Grèce hors du bloc ayant adopté la monnaie unique a en effet perdu des plumes après que l'échantillon interrogé ait indiqué hier que le parti conservateur pourrait être en mesure de former un nouveau gouvernement après le scrutin du 17 juin, alors que les urnes avaient mené en mai vers une impasse politique.
Mais l'inquiétude s'est trouvée ravivée par la santé incertaine du secteur bancaire espagnol, après que Madrid ait annoncé dimanche compter renflouer Bankia, un des plus gros établissements financiers nationaux.
Cette nouvelle a ravivé la crainte que la hausse du coût des sauvetages bancaires ne pousse le pays à recourir à un plan de sauvetage international.
La devise de la Grande-Bretagne a par contre cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.36% pour se hisser à 0.8018.
Les transactions avaient peu de chances d'être très nombreuses en ce lundi de pentecôte, entraînant l'inactivité de la plupart des places européennes, tandis que celles des Etats-Unis devaient faire de même pour cause de memorial day.