Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce mardi matin, alors que les déceptions chinoises conteinuaient à plomber les perspectives de croissance mondiale, dans l'expectative des chiffres allemands cruciaux devant être publiés vers la mi-journée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,50%, le CAC 40 français de 0,36%, et le DAX 30 allemand de 0,42%.
La prudence restait en effet de mise après qu'il ait été révélé hier que l'économie de la Chine n'avait gonflé que de 7,7% d'une année sur l'autre du début janvier à la fin mars, suite au 7,9% enregistrés pour le trimestre précédent, alors que 8,0% étaient espérés
Il était également à noter que la production industrielle du pays avait aussi été inférieure aux attentes, alors que les ventes au détail dépassaient par contre légèrement les projections.
La finance était en retrait, le Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,03%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,35 et 0,80%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 0,76 et 0,59%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit limitant les dégâts à 0,08 et 0,12%.
LVMH, expert en produits de luxe, coulait aussi de 2,93% malgré des revenus entre début janvier et fin mars en hausse de 6%, et atteignant 6,95 milliards d'euros.
Mais tout n'était cependant pas désespéré à PAris, Danone empochant 3,86% grâce à une augmentation de son chiffre d'affaires supérieure aux attentes pour la même période.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,38%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings se rétractait de 0,48%, et la Royal Bank of Scotland de 0,78%, alors que Barclays et Lloyds Banking s'effondraient de 1,01 et 1,07%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre connu des embellies, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto grimpant de 1,27 et 1,59%, leurs rivaux Fresnillo et Eurasian Natural Resources bondissant carrément de 4,54 et 4,64%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste avec 1,94 et 3,51%.
Sur le front de l'actualité, la compagnie de recrutement Michael Page dégringolait de 6% après avoir déploré une fonte de 6,7% de ses bénéfices sur le premier trimestre et prédit que le suivant serait "difficile".
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,52%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,55% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,61%.
La zone euro comptait pour sa part divulguer aujourd'hui son inflation au détail, imitée par le centre de recherches économiques ZEW avec son baromètre économique allemand.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront accordés, sans oublier des informations concernant les variations des prix proposés aux particuliers et de la production industrielle, ainsi que le taux d'utilisation des capacités de production.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,50%, le CAC 40 français de 0,36%, et le DAX 30 allemand de 0,42%.
La prudence restait en effet de mise après qu'il ait été révélé hier que l'économie de la Chine n'avait gonflé que de 7,7% d'une année sur l'autre du début janvier à la fin mars, suite au 7,9% enregistrés pour le trimestre précédent, alors que 8,0% étaient espérés
Il était également à noter que la production industrielle du pays avait aussi été inférieure aux attentes, alors que les ventes au détail dépassaient par contre légèrement les projections.
La finance était en retrait, le Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,03%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,35 et 0,80%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 0,76 et 0,59%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit limitant les dégâts à 0,08 et 0,12%.
LVMH, expert en produits de luxe, coulait aussi de 2,93% malgré des revenus entre début janvier et fin mars en hausse de 6%, et atteignant 6,95 milliards d'euros.
Mais tout n'était cependant pas désespéré à PAris, Danone empochant 3,86% grâce à une augmentation de son chiffre d'affaires supérieure aux attentes pour la même période.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,38%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings se rétractait de 0,48%, et la Royal Bank of Scotland de 0,78%, alors que Barclays et Lloyds Banking s'effondraient de 1,01 et 1,07%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre connu des embellies, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto grimpant de 1,27 et 1,59%, leurs rivaux Fresnillo et Eurasian Natural Resources bondissant carrément de 4,54 et 4,64%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste avec 1,94 et 3,51%.
Sur le front de l'actualité, la compagnie de recrutement Michael Page dégringolait de 6% après avoir déploré une fonte de 6,7% de ses bénéfices sur le premier trimestre et prédit que le suivant serait "difficile".
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,52%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,55% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,61%.
La zone euro comptait pour sa part divulguer aujourd'hui son inflation au détail, imitée par le centre de recherches économiques ZEW avec son baromètre économique allemand.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront accordés, sans oublier des informations concernant les variations des prix proposés aux particuliers et de la production industrielle, ainsi que le taux d'utilisation des capacités de production.