Investing.com - Les options sur le brut ont connu ce mardi leur second jours de baisse consécutif, chutant à leur plus bas niveau en une semaine après que les rebelles libyens aient capturé des villes cruciales pour l'industrie pétrolière, apaisant la crainte d'une prolongation des perturbations touchant les approvisionnements.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 103.41 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.39%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 103.19 USD, leur cours le plus bas depuis le 22 mars.
La chaîne Al-Jazeera a en effet annoncé que les forces rebelles avaient gagné du terrain sur les troupes loyalistes de Mouammar Kadhafi dans la soirée, reprenant le contrôle des importants ports pétroliers de Brega et Ras Lanuf à l'est du pays.
Le président américain Barack Obama a rappelé lundi que les Etats-Unis travaillaient à la destitution du colonel Kadhafi, tandis qu'un représentant du département d'état au trésor assurait que les rebelles ne subiraient pas de sanctions en cas de relance de la production dans les champs précédemment exploités par le gouvernement Kadhafi.
Le pays est le détenteur des champs d'or noir les plus importants de l'Afrique, et en extrait environ 1.6 millions de barils par jour. Shokri Ghanem, président de la compagnie pétrolière nationale libyenne, avait annoncé la semaine dernière que la production nationale était tombée sous les 400 000 barils quotidiens en février, contre 1.59 millions au cours du mois précédent.
Aramco, énorme société d'état pétrolière saoudienne, a par ailleurs rencontré en fin de semaine les plus grandes compagnies pétrolières, y compris Halliburton, dévoilant son intention de faire passer d'environ 92 à 118 le nombre de puits du pays, afin d'augmenter sa capacité d'extraction.
L'Arabie Saoudite reste le plus gros exportateur parmi les membres de l'OPEP, et produit environ 8.4 millions de barils quotidiens.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mai ont perdu 0.25% pour descendre à 114.45 USD du baril dans le même temps, soit 11.04 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 103.41 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.39%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 103.19 USD, leur cours le plus bas depuis le 22 mars.
La chaîne Al-Jazeera a en effet annoncé que les forces rebelles avaient gagné du terrain sur les troupes loyalistes de Mouammar Kadhafi dans la soirée, reprenant le contrôle des importants ports pétroliers de Brega et Ras Lanuf à l'est du pays.
Le président américain Barack Obama a rappelé lundi que les Etats-Unis travaillaient à la destitution du colonel Kadhafi, tandis qu'un représentant du département d'état au trésor assurait que les rebelles ne subiraient pas de sanctions en cas de relance de la production dans les champs précédemment exploités par le gouvernement Kadhafi.
Le pays est le détenteur des champs d'or noir les plus importants de l'Afrique, et en extrait environ 1.6 millions de barils par jour. Shokri Ghanem, président de la compagnie pétrolière nationale libyenne, avait annoncé la semaine dernière que la production nationale était tombée sous les 400 000 barils quotidiens en février, contre 1.59 millions au cours du mois précédent.
Aramco, énorme société d'état pétrolière saoudienne, a par ailleurs rencontré en fin de semaine les plus grandes compagnies pétrolières, y compris Halliburton, dévoilant son intention de faire passer d'environ 92 à 118 le nombre de puits du pays, afin d'augmenter sa capacité d'extraction.
L'Arabie Saoudite reste le plus gros exportateur parmi les membres de l'OPEP, et produit environ 8.4 millions de barils quotidiens.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mai ont perdu 0.25% pour descendre à 114.45 USD du baril dans le même temps, soit 11.04 USD de mieux que leurs homologues américaines.