Investing.com - Les bourses européennes étaient en difficulté ce vendredi matin, à l'approche de la réunion imminente des ministres des finances européens.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,57%, le CAC 40 français de 0,37%, et le DAX 30 allemand de 0,59%.
La prudence restait de mise alors que les membres de l'Eurogroupe comptaient se retrouver en cours de journée à Dublin, afin de discuter de l'éventuelle attribution à l'Irlande et au Portugal d'une extension de leur période de remboursement de leurs plans de sauvetage.
Chypre était probablement aussi au menu, après que son gouvernement ait confirmé hier que le coût de son programme de sauvegarde avait bondi de 17,5 à 23 milliards d'euros.
La finance était en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank sombrant respectivement de 1,08 et 1,57%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 0,81 et 1,10%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 3,79 et 1,29%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,10 et 0,90%.
A Paris, le fournisseur de services informatiques Cap Geminis'effondrait de 3,11% après que son rival indien Infosys ait déclaré s'attendre à une augmentation de 6 à 10% de ses rentrées pour l'année courant jusqu'en mars 2014.
A Londres, le FTSE 100 a dérapé de 0,65%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings a ainsi glissé de 0,36%, et Barclays de 0,88%, Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland faicant bien pire avec 1,23 et 1,55%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 0,19 et 1,16%, leur rival Evraz n'étant pas en reste avec 0,12%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que le second avait suspendu la production de son site de Bingham Canyon suite à l'effondrement d'une de ses parois le long d'une faille géologique dans la nuit de mercredi.
Le constructeur aéronautique militaire BAE systems a aussi plongé de 2,82%, après avoir vuson appréciation par JP Morgan revue à la baisse de la neutralité vers la déception.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,14%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,20% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,18%.
La zone euro comptait pour sa part faire connaître aujourd'hui le volume de sa production industrielle, après quoi les Etats-Unis concluront la semaine avec des informations officielles concernant les ventes au détail, l'inflation des prix à la production, ainsi que l'évaluation préliminaire de la confiance des consommateurs effectuée par l'université du Michigan.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,57%, le CAC 40 français de 0,37%, et le DAX 30 allemand de 0,59%.
La prudence restait de mise alors que les membres de l'Eurogroupe comptaient se retrouver en cours de journée à Dublin, afin de discuter de l'éventuelle attribution à l'Irlande et au Portugal d'une extension de leur période de remboursement de leurs plans de sauvetage.
Chypre était probablement aussi au menu, après que son gouvernement ait confirmé hier que le coût de son programme de sauvegarde avait bondi de 17,5 à 23 milliards d'euros.
La finance était en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank sombrant respectivement de 1,08 et 1,57%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 0,81 et 1,10%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 3,79 et 1,29%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,10 et 0,90%.
A Paris, le fournisseur de services informatiques Cap Geminis'effondrait de 3,11% après que son rival indien Infosys ait déclaré s'attendre à une augmentation de 6 à 10% de ses rentrées pour l'année courant jusqu'en mars 2014.
A Londres, le FTSE 100 a dérapé de 0,65%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings a ainsi glissé de 0,36%, et Barclays de 0,88%, Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland faicant bien pire avec 1,23 et 1,55%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 0,19 et 1,16%, leur rival Evraz n'étant pas en reste avec 0,12%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que le second avait suspendu la production de son site de Bingham Canyon suite à l'effondrement d'une de ses parois le long d'une faille géologique dans la nuit de mercredi.
Le constructeur aéronautique militaire BAE systems a aussi plongé de 2,82%, après avoir vuson appréciation par JP Morgan revue à la baisse de la neutralité vers la déception.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,14%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,20% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,18%.
La zone euro comptait pour sa part faire connaître aujourd'hui le volume de sa production industrielle, après quoi les Etats-Unis concluront la semaine avec des informations officielles concernant les ventes au détail, l'inflation des prix à la production, ainsi que l'évaluation préliminaire de la confiance des consommateurs effectuée par l'université du Michigan.