Investing.com - Les bourses européennes gardaient la forme ce mardi après-midi, dans le sillage de bonnes nouvelles provenant de Madrid, alors que la contre-performance américaine d'hier étouffait les bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année la voilure de ses injections de liquidités.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,21%, le CAC 40 français de 0,14%, et le DAX 30 allemand de 0,20%.
Une étude émanant des autorités espagnoles a en effet dénombré 98.300 demandeurs d'emploi de moins le mois passé, soit nettement mieux que les 50.200 espérés après les 46.100 précédents.
Il avait toutefois été montré hier que l'activité du secteur manufacturier des Etats-Unis avait subi en mai sa première rétraction en six mois.
L'institut de gestion des approvisionnements a ainsi révélé que son indice des directeurs des achats du secteur secondaire avait sombré jusqu'à 49,0, sa pire valeur depuis juin 2009, nettement inférieure aux 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 2,28%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,57 et 2,37%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,45 et 0,97%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,40 et 0,93%.
Le fournisseur de processeurs STMicroelectronics bondissait pour sa part de 5,57% après que son directeur général Carlo Bozotti ait déclaré que l'évolution des commandes avait été positive dans le monde entier, précisant qu'elles devraient gonfler de 5 à 10% au cours de l'année.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,52%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking engrangeait ainsi 0,73%, et la Royal Bank of Scotland 0,83%, tandis que Barclays et HSBC Holdings se plaçaient en tête avec 1,18 et 1,31%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi de la fête, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 0,18 et 0,85%, dépassés par leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Randgold Resources avec 0,90 et 1,15%.
Glencore Xstrata raflait pour sa part 0,93% après avoir annoncé le licenciement de près de mille de ses employés ayant participé à une grève non autorisée sur ses sites de production de chrome sud-africains.
Les perspectives des marchés américains étaient par contre moins enthousiasmantes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,05% alors que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,04%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le solde de leur balance commerciale.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,21%, le CAC 40 français de 0,14%, et le DAX 30 allemand de 0,20%.
Une étude émanant des autorités espagnoles a en effet dénombré 98.300 demandeurs d'emploi de moins le mois passé, soit nettement mieux que les 50.200 espérés après les 46.100 précédents.
Il avait toutefois été montré hier que l'activité du secteur manufacturier des Etats-Unis avait subi en mai sa première rétraction en six mois.
L'institut de gestion des approvisionnements a ainsi révélé que son indice des directeurs des achats du secteur secondaire avait sombré jusqu'à 49,0, sa pire valeur depuis juin 2009, nettement inférieure aux 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 2,28%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,57 et 2,37%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,45 et 0,97%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,40 et 0,93%.
Le fournisseur de processeurs STMicroelectronics bondissait pour sa part de 5,57% après que son directeur général Carlo Bozotti ait déclaré que l'évolution des commandes avait été positive dans le monde entier, précisant qu'elles devraient gonfler de 5 à 10% au cours de l'année.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,52%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking engrangeait ainsi 0,73%, et la Royal Bank of Scotland 0,83%, tandis que Barclays et HSBC Holdings se plaçaient en tête avec 1,18 et 1,31%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi de la fête, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 0,18 et 0,85%, dépassés par leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Randgold Resources avec 0,90 et 1,15%.
Glencore Xstrata raflait pour sa part 0,93% après avoir annoncé le licenciement de près de mille de ses employés ayant participé à une grève non autorisée sur ses sites de production de chrome sud-africains.
Les perspectives des marchés américains étaient par contre moins enthousiasmantes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,05% alors que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,04%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le solde de leur balance commerciale.