Investing.com - Les options sur le brut étaient en légère progression ce mercredi, se maintenant aux alentours de leur pic des quatre dernières semaines établi hier, les investisseurs attendant que se dissipe le flou concernant la méthode de lutte contre la crise de la dette adoptée par l'Union Européenne lors de son prochain sommet.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 88.4 USD le baril en première partie de séance européenne, prenant 0.33%.
Leur expiration aura lieu après la clôture des échanges de jeudi.
Leurs homologues pour décembre ont connu davantage d'activité, grignotant 0.11% pour se hisser à 88.63 USD, après avoir auparavant culminé à 88.86 USD, avec une progression de 0.22%.
L'expiration des contrats entraîne souvent des transactions chaotiques, les participants cherchant à liquider leurs positions ou à restructurer leur portefeuille.
Les investisseurs gardaient les yeux tournés vers les plans destinés à régler le problème du surendettement de la zone euro après que le quotidien britannique Guardian ait affirmé hier que l'Allemagne et la France se seraient, d'après des sources diplomatiques anonymes, mises d'accord pour agrandir la taille du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen jusqu'à 2 billions d'euros, ce qu'ont ensuite nié les autorités régionales.
L'agence Moody's avait quand à elle rétrogradé la notation monétaire espagnole de deux crans dans la soirée d'hier, passant de A1 vers Aa2, invoquant les hauts niveaux d'endettement des secteurs banquier et entrepreneurial.
Les cours ont par ailleurs trouvé davantage de soutien après que l'institut du pétrole américain, spécialiste du secteur, ait déclaré après la fin des échanges d'hier que les résesrves d'or noir des Etats-Unis avaient diminué de 3.13 millions de barils la semaine dernière, et celles d'essence de 1.64 millions.
L'agence américaine d'information sur l'énergie devrait par ailleurs dévoiler son inventaire hebdomadaire du pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Celui-ci pourrait montrer une augmentation de 1.8 millions de barils des stocks de brut pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient en perdre 1 million.
Les prix avaient rebondi de 2.3% hier, pour s'énvoler vers un sommet des quatre dernières semaines à 89.22 USD du baril après que Goldman Sachs, une des banques d'affaires les plis en vue de Wall Street, ait assuré déceler des "chances de hausse" de ceux-ci en raison de la diminution des réserves et de la demande stable de la part des économies émergentes.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont quand à elles arraché 0.19% pour grimper à 111.36 USD du baril dans le même temps, leur écart se situant à 22.73 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 88.4 USD le baril en première partie de séance européenne, prenant 0.33%.
Leur expiration aura lieu après la clôture des échanges de jeudi.
Leurs homologues pour décembre ont connu davantage d'activité, grignotant 0.11% pour se hisser à 88.63 USD, après avoir auparavant culminé à 88.86 USD, avec une progression de 0.22%.
L'expiration des contrats entraîne souvent des transactions chaotiques, les participants cherchant à liquider leurs positions ou à restructurer leur portefeuille.
Les investisseurs gardaient les yeux tournés vers les plans destinés à régler le problème du surendettement de la zone euro après que le quotidien britannique Guardian ait affirmé hier que l'Allemagne et la France se seraient, d'après des sources diplomatiques anonymes, mises d'accord pour agrandir la taille du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen jusqu'à 2 billions d'euros, ce qu'ont ensuite nié les autorités régionales.
L'agence Moody's avait quand à elle rétrogradé la notation monétaire espagnole de deux crans dans la soirée d'hier, passant de A1 vers Aa2, invoquant les hauts niveaux d'endettement des secteurs banquier et entrepreneurial.
Les cours ont par ailleurs trouvé davantage de soutien après que l'institut du pétrole américain, spécialiste du secteur, ait déclaré après la fin des échanges d'hier que les résesrves d'or noir des Etats-Unis avaient diminué de 3.13 millions de barils la semaine dernière, et celles d'essence de 1.64 millions.
L'agence américaine d'information sur l'énergie devrait par ailleurs dévoiler son inventaire hebdomadaire du pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Celui-ci pourrait montrer une augmentation de 1.8 millions de barils des stocks de brut pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient en perdre 1 million.
Les prix avaient rebondi de 2.3% hier, pour s'énvoler vers un sommet des quatre dernières semaines à 89.22 USD du baril après que Goldman Sachs, une des banques d'affaires les plis en vue de Wall Street, ait assuré déceler des "chances de hausse" de ceux-ci en raison de la diminution des réserves et de la demande stable de la part des économies émergentes.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont quand à elles arraché 0.19% pour grimper à 111.36 USD du baril dans le même temps, leur écart se situant à 22.73 USD de mieux que leurs homologues américaines.