Investing.com - La livre sterling avait du mal à s'extraire d'un gouffre de deux ans et demi face au dollar U.S. ce mercredi, tirée vers le bas par une économie remise en question, sur fond de risques d'assouplissements supplémentaires de la part de son émettrice.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.4964 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.4942, prenant 0.26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.483, son plancher le plus bas depuis juin 2010 établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1.5046, son plafond du 8 mars.
Le monnaie de la Grande-Bretagne restait sur la sellette dans le sillage des piètres performances manufacturières et industrielles britanniques pour janvier divulguées mardi.
Ces déceptions avaient contribué, avec d'autres portant sur le secteur du bâtiment et le secteur secondaire, à faire renaître l'ombre d'une récession à triple tranchant et renforcé l'espérance de nouveaux accommodements provenant de la Banque d'Angleterre.
Le billet vert gardait pour sa part le sourire, espérant que la reprise économique américaine prenait de l'ampleur, surveillant le volume des ventes au détail des Etats-Unis devant être dévoilé dans l'après-midi.
La devise à l'effigie de la reine a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP chutant de 0.32% pour sombrer à 0.8717.
Ce dernier demeurait fragilisé à l'approche de l'émission par Rome d'obligations à trois et quinze ans, constituant un test crucial de l'appétit des investisseurs à leur égard, sur fond de confusion politique découlant des élections incertaines du mois dernier.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.4964 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.4942, prenant 0.26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.483, son plancher le plus bas depuis juin 2010 établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1.5046, son plafond du 8 mars.
Le monnaie de la Grande-Bretagne restait sur la sellette dans le sillage des piètres performances manufacturières et industrielles britanniques pour janvier divulguées mardi.
Ces déceptions avaient contribué, avec d'autres portant sur le secteur du bâtiment et le secteur secondaire, à faire renaître l'ombre d'une récession à triple tranchant et renforcé l'espérance de nouveaux accommodements provenant de la Banque d'Angleterre.
Le billet vert gardait pour sa part le sourire, espérant que la reprise économique américaine prenait de l'ampleur, surveillant le volume des ventes au détail des Etats-Unis devant être dévoilé dans l'après-midi.
La devise à l'effigie de la reine a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP chutant de 0.32% pour sombrer à 0.8717.
Ce dernier demeurait fragilisé à l'approche de l'émission par Rome d'obligations à trois et quinze ans, constituant un test crucial de l'appétit des investisseurs à leur égard, sur fond de confusion politique découlant des élections incertaines du mois dernier.