Investing.com - Les options sur l'or étaient sur la défensive ce jeudi matin, les opérateurs se trouvant peu enclins à prolonger la forte ascension d'hier, les signaux graphiques demeurant largement négatifs.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1.469,15 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0,3%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1.467,55 USD, leur pire cours journalier, et 1.474,85 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.439,75 USD, leur plancher du premier mai, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.487,15 USD, leur plafond de vendredi.
La journée d'hier les avait vus s'envoler à 1.475,55 USD, réalisant une poussée de plus de 1,5%, sur fond de signes d'une augmentation de la demande émanant de la Chine, la seconde au monde.
Mais circonspection était de rigueur car la barre psychologique cruciale des 1.500 USD restait infranchie, dénotant un tableau technique peu engageant.
Les prix avaient caracolé vendredi à 1.487,15 USD, leur plus forte valeur en deux semaines, se remettant presque de l'hémorragie subie en avril, ayant dégringolé le 16 avril jusqu'à 1.322,25 USD, leur plus faible niveau en 27 mois.
Une étude officielle avait révélé à l'aube que les prix à la consommation de la Chine avaient grimpé en avril de 2,4% d'une année sur l'autre, dépassant du coup les 2,3% anticipés et les 2,1% précédents.
Le métal précieux est généralement considéré comme un rempart contre l'inflation, et ses cours tendent à refléter l'augmentation des prix au détail.
Des informations émanant des autorités avaient signalé hier que les importations chinoises de métal jaune depuis Hong Kong avaient établi en mars un record avec 223,52 tonnes, contre seulement 97,11 tonnes pour février.
Les chiffres d'avril pourraient aussi atteindre des niveaux historiques, les achats au comptant du pays ayant explosé avec l'effondrement des prix du mois passé.
Le pays demeure le second acheteur de la planète après l'Inde.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs rebondi de 0,35% pour grimper à 24,01 USD de l'once, mais celles sur le cuivre à échéance identique ont chuté de 1,1% pour se retrouver à 3,333 USD la livre dans le même temps.
Ces dernières se sont retrouvées sur la sellette après que l'accélération inattendue de l'inflation en Chine ait jugulé les espérances de nouvelles mesures d'assouplissement de la part des décideurs de Pékin, qui auraient été destinées à donner un coup de fouet au premier consommateur global de métal rouge.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1.469,15 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0,3%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1.467,55 USD, leur pire cours journalier, et 1.474,85 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.439,75 USD, leur plancher du premier mai, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.487,15 USD, leur plafond de vendredi.
La journée d'hier les avait vus s'envoler à 1.475,55 USD, réalisant une poussée de plus de 1,5%, sur fond de signes d'une augmentation de la demande émanant de la Chine, la seconde au monde.
Mais circonspection était de rigueur car la barre psychologique cruciale des 1.500 USD restait infranchie, dénotant un tableau technique peu engageant.
Les prix avaient caracolé vendredi à 1.487,15 USD, leur plus forte valeur en deux semaines, se remettant presque de l'hémorragie subie en avril, ayant dégringolé le 16 avril jusqu'à 1.322,25 USD, leur plus faible niveau en 27 mois.
Une étude officielle avait révélé à l'aube que les prix à la consommation de la Chine avaient grimpé en avril de 2,4% d'une année sur l'autre, dépassant du coup les 2,3% anticipés et les 2,1% précédents.
Le métal précieux est généralement considéré comme un rempart contre l'inflation, et ses cours tendent à refléter l'augmentation des prix au détail.
Des informations émanant des autorités avaient signalé hier que les importations chinoises de métal jaune depuis Hong Kong avaient établi en mars un record avec 223,52 tonnes, contre seulement 97,11 tonnes pour février.
Les chiffres d'avril pourraient aussi atteindre des niveaux historiques, les achats au comptant du pays ayant explosé avec l'effondrement des prix du mois passé.
Le pays demeure le second acheteur de la planète après l'Inde.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs rebondi de 0,35% pour grimper à 24,01 USD de l'once, mais celles sur le cuivre à échéance identique ont chuté de 1,1% pour se retrouver à 3,333 USD la livre dans le même temps.
Ces dernières se sont retrouvées sur la sellette après que l'accélération inattendue de l'inflation en Chine ait jugulé les espérances de nouvelles mesures d'assouplissement de la part des décideurs de Pékin, qui auraient été destinées à donner un coup de fouet au premier consommateur global de métal rouge.