Investing.com - Les options sur le brut étaient se sont maintenues aux alentours de leur plus haut niveau en 14 mois ce lundi, les yeux fixés sur l'agitation politique touchant l'Egypte, dans l'angoisse de son extension aux gros producteurs de la région.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 103,29 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,1%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 102,98 USD, leur cours le plus bas du jour, et 103,98 USD, leur meilleur niveau depuis le 3 mai 2012.
Les escarmouches de fin de semaien entre partisans et opposants du président égyptien renversé Mohammed Morsi auraient en effet causé d'après plusieurs sources la mort de trente personnes.
Les observateurs redoutent ainsi que l'escalade des tensions entraîne la fermeture du canal de Suez, par lequel près de 2 millions de barils circulent par jour, partant notamment du Moyen-Orient vers les Etats-Unis.
L'agence d'information sur l'énergie américaine a quand à elle classé ce site comme l'un des sept "goulets d'étranglement du transport mondial de pétrole" et estimé qu'il est un "couloir d'accès aux marchés mondiaux du pétrole de première importance" dans son rapport sur les perspectives énergétiques pour 2012.
Les cours profitaient également des signes d'amélioration des perspectives économiques américaines.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait décompté en fin de semaine 195.000 emplois supplémentaires en juin, au lieu des 165.000 envisagés.
Les 175.000 précédents ayant par ailleurs été revus à la hausse jusqu'à 195.000, et le taux de chômage se maintenait quand à lui à 7,6% le mois passé.
Les acteurs du marché pétrolier surveillent généralement ce rapport de très près, car il offre la prise la plus directe avec le marché du travail national, et donc une idée de sa voracité.
Une économie florissante a tendance à exiger davantage de carburant.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont cédé 0,15% pour glisser à 107,56 USD du baril dans le même temps, soit 4,27 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs prix, établis à Londres, avaient atteint en début de journée un pic journalier de 108,03 USD, leur niveau le plus élevé depuis le 3 avril.
L'écart avec leurs équivalents des Etats-Unis a fondu la semaine passée jusqu'à être le plus mince depuis décembre 2010, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 103,29 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,1%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 102,98 USD, leur cours le plus bas du jour, et 103,98 USD, leur meilleur niveau depuis le 3 mai 2012.
Les escarmouches de fin de semaien entre partisans et opposants du président égyptien renversé Mohammed Morsi auraient en effet causé d'après plusieurs sources la mort de trente personnes.
Les observateurs redoutent ainsi que l'escalade des tensions entraîne la fermeture du canal de Suez, par lequel près de 2 millions de barils circulent par jour, partant notamment du Moyen-Orient vers les Etats-Unis.
L'agence d'information sur l'énergie américaine a quand à elle classé ce site comme l'un des sept "goulets d'étranglement du transport mondial de pétrole" et estimé qu'il est un "couloir d'accès aux marchés mondiaux du pétrole de première importance" dans son rapport sur les perspectives énergétiques pour 2012.
Les cours profitaient également des signes d'amélioration des perspectives économiques américaines.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait décompté en fin de semaine 195.000 emplois supplémentaires en juin, au lieu des 165.000 envisagés.
Les 175.000 précédents ayant par ailleurs été revus à la hausse jusqu'à 195.000, et le taux de chômage se maintenait quand à lui à 7,6% le mois passé.
Les acteurs du marché pétrolier surveillent généralement ce rapport de très près, car il offre la prise la plus directe avec le marché du travail national, et donc une idée de sa voracité.
Une économie florissante a tendance à exiger davantage de carburant.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont cédé 0,15% pour glisser à 107,56 USD du baril dans le même temps, soit 4,27 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs prix, établis à Londres, avaient atteint en début de journée un pic journalier de 108,03 USD, leur niveau le plus élevé depuis le 3 avril.
L'écart avec leurs équivalents des Etats-Unis a fondu la semaine passée jusqu'à être le plus mince depuis décembre 2010, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.