Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi, toujours tiré vers le bas par la déception engendrée vendredi par le produit intérieur brut américain.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,43% pour grimper à 1,3085.
L'étalon américain demeurait en effet sur la défensive après que la croissance décevante des Etats-Unis au premier trimestre ait étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de capitaux de la Réserve Fédérale dans l'optique de son conseil d'orientation de mercredi.
Rome a pour sa part vu les coûts de ses emprunts plonger à leur niveau le plus bas depuis octobre 2010 lors d'une émission de bons du trésor à cinq et dix ans, après que l'Italie soit sortie de l'impasse politique découlant des élections sans résultats clairs de février avec l'intronisation d'un nouveau gouvernement.
Elle a ainsi trouvé preneur pour 3 milliards d'euros en obligations décennales à un taux moyen de 3,94%, au lieu des 4,66% précédents, leurs homologues quinquennales rassemblant là aussi 3 milliards d'euros à 2,8% de moyenne contre 3,65% auparavant.
Un rapport de la Commission Européenne a cependant montré que le moral économique du bloc avait sombré depuis 90,1 vers 88,6 pour avril, reflétant les inquiétudes au sujet du futur de la région.
La monnaie unique semblait aussi devoir rester fragilisée à l'approche de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne, dont une baisse des taux est attendue.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,39% pour se hisser à 1,5535, se maintenant aux abords d'un creux de deux mois et demi.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne gardait la forme après qu'il ait été révélé la semaine passée que l'économie britannique avait retrouvé le chemin de la croissance au premier trimestre, échappant ainsi à une récession à triple tranchant.
Il a d'autre part un peu moins subi la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,22% pour se retrouver à 97,84.
Il en était de même avec le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,33% pour tomber à 0,9392.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,50% pour monter à 1,0332, le NZD/USD engrangeant 0,63% pour culminer à 0,8534 et l'USD/CAD régressant de 0,28% pour aller vers 1,0142.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,41% pour se situer à 82,23.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi les informations de leurs spécialistes de l'immobilier sur le nombre des ventes de logements en cours.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,43% pour grimper à 1,3085.
L'étalon américain demeurait en effet sur la défensive après que la croissance décevante des Etats-Unis au premier trimestre ait étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de capitaux de la Réserve Fédérale dans l'optique de son conseil d'orientation de mercredi.
Rome a pour sa part vu les coûts de ses emprunts plonger à leur niveau le plus bas depuis octobre 2010 lors d'une émission de bons du trésor à cinq et dix ans, après que l'Italie soit sortie de l'impasse politique découlant des élections sans résultats clairs de février avec l'intronisation d'un nouveau gouvernement.
Elle a ainsi trouvé preneur pour 3 milliards d'euros en obligations décennales à un taux moyen de 3,94%, au lieu des 4,66% précédents, leurs homologues quinquennales rassemblant là aussi 3 milliards d'euros à 2,8% de moyenne contre 3,65% auparavant.
Un rapport de la Commission Européenne a cependant montré que le moral économique du bloc avait sombré depuis 90,1 vers 88,6 pour avril, reflétant les inquiétudes au sujet du futur de la région.
La monnaie unique semblait aussi devoir rester fragilisée à l'approche de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne, dont une baisse des taux est attendue.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,39% pour se hisser à 1,5535, se maintenant aux abords d'un creux de deux mois et demi.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne gardait la forme après qu'il ait été révélé la semaine passée que l'économie britannique avait retrouvé le chemin de la croissance au premier trimestre, échappant ainsi à une récession à triple tranchant.
Il a d'autre part un peu moins subi la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,22% pour se retrouver à 97,84.
Il en était de même avec le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,33% pour tomber à 0,9392.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,50% pour monter à 1,0332, le NZD/USD engrangeant 0,63% pour culminer à 0,8534 et l'USD/CAD régressant de 0,28% pour aller vers 1,0142.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,41% pour se situer à 82,23.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi les informations de leurs spécialistes de l'immobilier sur le nombre des ventes de logements en cours.