Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi matin, et notamment ses homologues européens suite à la bonne surprise provenant des prestataires de services de la région où ils ont cours, tandis que celui de l'Australie bénéficiait du statu quo prolongé par son émettrice.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.32% pour grimper à 1.3067.
Il a en effet été souligné que le indice des directeurs des achats du secteur tertiaire allemand avait frémi depuis son évaluation préliminaire à 54.1 vers 54.7 pour le mois dernier, son équivalent français passant de 42.7 à 43.7.
Celui de l'ensemble de la zone euro évoluait aussi positivement de 47.3 à 47.9.
La monnaie unique restait tout de même sur la sellette en raison de la crainte que l'Italie ne puisse plus continuer à mettre en place les réformes structurelles et l'austérité exigées d'elle, découlant des élections législatives sans résultat clair de la semaine passée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.39% pour se hisser à 1.5171, établissant un pic journalier, après que le baromètre de l'activité des prestataires de services britanniques se soit amélioré en février sans crier gare de 51.5 vers 51.8, alors qu'un faux pas à 51 était redouté.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY dérapant de 0.39% pour glisser à 93.1, mais demeurant soutenu par l'attente persistante d'assouplissements musclés de la part de la Banque du Japon.
Il a d'autre part subi la du franc suisse, l'USD/CHF trébuchant de 0.1% pour tomber à 0.9396.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.08% pour aller vers 1.0263, l'AUD/USD raflant 0.39% pour monter à 1.0232 et le NZD/USD engrangeant 0.07% pour culminer à 0.8281.
La Réserve Bancaire d'Australie avait annoncé à l'aube le maintien de son taux directeur à 3%, estimant sa position actuelle adaptée.
Une étude officielle avait auparavant signalé quee les ventes au détail du pays avaient gonflé de 0.9% en janvier, dépassant ainsi les 0.4% pressentis, après avoir laissé échapper 0.4% en décembre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.35% pour se situer à 81.98.
La zone euro comptait quand à elle dévoiler aujourd'hui l'importance de ses ventes auprès des particuliers, après quoi l'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis conclura de son côté la journée avec un rapport sur l'activité du secteur tertiaire.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.32% pour grimper à 1.3067.
Il a en effet été souligné que le indice des directeurs des achats du secteur tertiaire allemand avait frémi depuis son évaluation préliminaire à 54.1 vers 54.7 pour le mois dernier, son équivalent français passant de 42.7 à 43.7.
Celui de l'ensemble de la zone euro évoluait aussi positivement de 47.3 à 47.9.
La monnaie unique restait tout de même sur la sellette en raison de la crainte que l'Italie ne puisse plus continuer à mettre en place les réformes structurelles et l'austérité exigées d'elle, découlant des élections législatives sans résultat clair de la semaine passée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.39% pour se hisser à 1.5171, établissant un pic journalier, après que le baromètre de l'activité des prestataires de services britanniques se soit amélioré en février sans crier gare de 51.5 vers 51.8, alors qu'un faux pas à 51 était redouté.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY dérapant de 0.39% pour glisser à 93.1, mais demeurant soutenu par l'attente persistante d'assouplissements musclés de la part de la Banque du Japon.
Il a d'autre part subi la du franc suisse, l'USD/CHF trébuchant de 0.1% pour tomber à 0.9396.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.08% pour aller vers 1.0263, l'AUD/USD raflant 0.39% pour monter à 1.0232 et le NZD/USD engrangeant 0.07% pour culminer à 0.8281.
La Réserve Bancaire d'Australie avait annoncé à l'aube le maintien de son taux directeur à 3%, estimant sa position actuelle adaptée.
Une étude officielle avait auparavant signalé quee les ventes au détail du pays avaient gonflé de 0.9% en janvier, dépassant ainsi les 0.4% pressentis, après avoir laissé échapper 0.4% en décembre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.35% pour se situer à 81.98.
La zone euro comptait quand à elle dévoiler aujourd'hui l'importance de ses ventes auprès des particuliers, après quoi l'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis conclura de son côté la journée avec un rapport sur l'activité du secteur tertiaire.