Wall Street s'est offert une fin de trimestre au champagne en concluant ce vendredi des '4 sorcières' sur une progression moyenne de +0,5% (et de +13% en 5 semaines) qui permet d'enterrer les idée noires des 6 premières semaines de l'année 2016... et d'afficher des scores positifs depuis le 1er janvier.
Les 'fondamentaux' ne sont pas du côté des acheteurs mais ce détail est secondaire quand la FED manifeste son indéfectible soutien aux marchés US en évacuant le scénario de 3 ou 4 hausses de taux cette année.
C'est une bonne nouvelle qui pourrait se transformer en impasse si l'inflation s'installait durablement au-dessus des 2% au 2ème semestre.
Mais dans l'immédiat, il y avait beaucoup d'argent à gagner en écrasant la 'volat' au cours des séances préparatoires à celle si cruciale des '4 sorcières'.
Et c'est ce qui a été fait avec une redoutable efficacité puis le 'VIX est retombé au contact des 14, au plus bas depuis fin octobre et mi-août 2015(contre 34 autour du 20 janvier).
Sur l'ensemble de la semaine, le Dow a grimpé de 1,8%, le S&P de +1,3% et le Nasdaq de +1%.
Wall Street n'a été affecté ni par le recul de -2% du pétrole sur le NYMEX, ni par le recul de l'indice de confiance du Michigan à 90 contre 91,7 en février, déjouant un consensus de 92,2: il se retrouve au plus bas depuis octobre dernier... mais il n'existe pas de corrélation imparable avec la consommation des ménages et le marché du travail.
Le Dow Jones a nettement surperformé les autres indices au cours de la semaine close ce 18 mars: la hausse de vendredi a été menée par 2 valeurs bancaires (Goldman Sachs avec +3,2% et JP-Morgan avec +2,8%) puis par Boeing (NYSE:BA) (+2,5% grâce au repli du $), Intel (NASDAQ:INTC) (+2%) et Amex (+1,95%).
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Les 'fondamentaux' ne sont pas du côté des acheteurs mais ce détail est secondaire quand la FED manifeste son indéfectible soutien aux marchés US en évacuant le scénario de 3 ou 4 hausses de taux cette année.
C'est une bonne nouvelle qui pourrait se transformer en impasse si l'inflation s'installait durablement au-dessus des 2% au 2ème semestre.
Mais dans l'immédiat, il y avait beaucoup d'argent à gagner en écrasant la 'volat' au cours des séances préparatoires à celle si cruciale des '4 sorcières'.
Et c'est ce qui a été fait avec une redoutable efficacité puis le 'VIX est retombé au contact des 14, au plus bas depuis fin octobre et mi-août 2015(contre 34 autour du 20 janvier).
Sur l'ensemble de la semaine, le Dow a grimpé de 1,8%, le S&P de +1,3% et le Nasdaq de +1%.
Wall Street n'a été affecté ni par le recul de -2% du pétrole sur le NYMEX, ni par le recul de l'indice de confiance du Michigan à 90 contre 91,7 en février, déjouant un consensus de 92,2: il se retrouve au plus bas depuis octobre dernier... mais il n'existe pas de corrélation imparable avec la consommation des ménages et le marché du travail.
Le Dow Jones a nettement surperformé les autres indices au cours de la semaine close ce 18 mars: la hausse de vendredi a été menée par 2 valeurs bancaires (Goldman Sachs avec +3,2% et JP-Morgan avec +2,8%) puis par Boeing (NYSE:BA) (+2,5% grâce au repli du $), Intel (NASDAQ:INTC) (+2%) et Amex (+1,95%).
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