Investing.com - L'euro a dérapé dans une ornière hebdomadaire face au dollar U.S. ce jeudi, l'angoisse d'un ralentissement économique général ayant été amplifiées par une activité manufacturière chinoise décevante, dans l'expectative des chiffres provenant de la zone euro d'aujourd'hui.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2983 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 13 septembre, puis s'est stabilisée vers 1.2976, perdant 0.54%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2861, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.3085, son plafond d'hier.
Les inquiétudes au sujet de la croissance de la Chine ont en effet été ravivées lorsqu'il a été montré ce matin que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC était remonté de 47.6, sa plus faible valeur en neuf mois, vers 47.8 pour septembre, mais demeurait toutefois sous la barre fatidique des 50 pour le onzième mois d'affilée, dénotant la poursuite de la contraction dans ce domaine.
Le blason de la monnaie unique s'était trouvé terni par hier la volonté de certains députés allemands d'affaiblir les projets d'union des banques du bloc où elle a cours, lesquelles se trouveraient chapeautées par la Banque Centrale Européenne.
La prudence restait de mise face aux incertitudes concernant le recours éventuel de l'Espagne à la main tendue par la Banque Centrale Européenne avec son nouveau plan de rachat d'actifs, qui impliquerait de s'inscrire au fonds de secours permanent.
Les yeux étaient également rivés sur la mise aux enchères d'obligations décennales espagnoles de la mi-journée, qui devrait constituer un test critique de l'attractivité de la dette du pays.
Une étude officielle avait auparavant montré que les coûts de production allemands avaient connu une augmentation de 0.5% en août, aaprès avoir stagné le mois précédent.
Les experts ne pensaient pourtant pas la voir dépasser 0.4% pour la période considérée.
La monnaie unique a égalment cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP dérapant de 0.34% pour chuter à 0.8017.
La zone euro comptait dévoiler dans la journée ses premières estimations concernant l'activité secondaire et tertiaire, imitée par l'Allemagne et la France, après quoi Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, participera à une conférence à Francfort.
Le gouvernement des Etats-Unis ne sera pas en reste, avec son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que son baromètre de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2983 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 13 septembre, puis s'est stabilisée vers 1.2976, perdant 0.54%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2861, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.3085, son plafond d'hier.
Les inquiétudes au sujet de la croissance de la Chine ont en effet été ravivées lorsqu'il a été montré ce matin que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC était remonté de 47.6, sa plus faible valeur en neuf mois, vers 47.8 pour septembre, mais demeurait toutefois sous la barre fatidique des 50 pour le onzième mois d'affilée, dénotant la poursuite de la contraction dans ce domaine.
Le blason de la monnaie unique s'était trouvé terni par hier la volonté de certains députés allemands d'affaiblir les projets d'union des banques du bloc où elle a cours, lesquelles se trouveraient chapeautées par la Banque Centrale Européenne.
La prudence restait de mise face aux incertitudes concernant le recours éventuel de l'Espagne à la main tendue par la Banque Centrale Européenne avec son nouveau plan de rachat d'actifs, qui impliquerait de s'inscrire au fonds de secours permanent.
Les yeux étaient également rivés sur la mise aux enchères d'obligations décennales espagnoles de la mi-journée, qui devrait constituer un test critique de l'attractivité de la dette du pays.
Une étude officielle avait auparavant montré que les coûts de production allemands avaient connu une augmentation de 0.5% en août, aaprès avoir stagné le mois précédent.
Les experts ne pensaient pourtant pas la voir dépasser 0.4% pour la période considérée.
La monnaie unique a égalment cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP dérapant de 0.34% pour chuter à 0.8017.
La zone euro comptait dévoiler dans la journée ses premières estimations concernant l'activité secondaire et tertiaire, imitée par l'Allemagne et la France, après quoi Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, participera à une conférence à Francfort.
Le gouvernement des Etats-Unis ne sera pas en reste, avec son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que son baromètre de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.