Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, alors que la nervosité des investisseurs devenait palpable à l'orée de la vente aux enchères de dettes allemandes, augmentant son attraint en tant que valeur refuge.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.01% pour tomber à 1.3049, se maintenant aux abords de son creux annuel.
La monnaie unique se trouvait sur la sellette alors que l'Allemagne s'apprêtait à émettre pour 5 milliards d'euros de bons du trésor décennaux en cours de matinée.
Une étude aavait auparavant montré que l'activité tertiaire de la zone euro avait reculé en décembre pour le quatrième mois consécutif, mais à un rythme plus modéré qu'il n'avait été craint.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.05% pour chuter à 1.5642.
Un rapport du groupe de recherches économiques Markit avait indiqué ce matin que l'indice des directeurs des achats dans le domaine du bâtiment britannique avait augmenté de manière surprenante en décembre, s'élevant de 52.3 à 53.2 pour décembre.
Les experts s'étaient pourtant attendus à le voir reculer jusqu'à 52 pour la période considérée.
La Banque d'Angleterre a déclaré de son côté que les prêts nets aux particuliers avaient augmenté conformément aux prévisions en novembre.
Il a toutefois subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY se repliant de 0.12% pour descendre à 76.63 et l'USD/CHF grignotant 0.19% pour culminer à 0.9338.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.2% pour monter à 1.0128, l'AUD/USD cédant 0.2% pour se retrouver à 1.0355 et le NZD/USD se laissant arracher 0.03% pour toucher le fond à 0.7892.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, est par contre resté stable à 79.96.
Les Etats-Unis devraient dévoiler dans l'après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.01% pour tomber à 1.3049, se maintenant aux abords de son creux annuel.
La monnaie unique se trouvait sur la sellette alors que l'Allemagne s'apprêtait à émettre pour 5 milliards d'euros de bons du trésor décennaux en cours de matinée.
Une étude aavait auparavant montré que l'activité tertiaire de la zone euro avait reculé en décembre pour le quatrième mois consécutif, mais à un rythme plus modéré qu'il n'avait été craint.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.05% pour chuter à 1.5642.
Un rapport du groupe de recherches économiques Markit avait indiqué ce matin que l'indice des directeurs des achats dans le domaine du bâtiment britannique avait augmenté de manière surprenante en décembre, s'élevant de 52.3 à 53.2 pour décembre.
Les experts s'étaient pourtant attendus à le voir reculer jusqu'à 52 pour la période considérée.
La Banque d'Angleterre a déclaré de son côté que les prêts nets aux particuliers avaient augmenté conformément aux prévisions en novembre.
Il a toutefois subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY se repliant de 0.12% pour descendre à 76.63 et l'USD/CHF grignotant 0.19% pour culminer à 0.9338.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.2% pour monter à 1.0128, l'AUD/USD cédant 0.2% pour se retrouver à 1.0355 et le NZD/USD se laissant arracher 0.03% pour toucher le fond à 0.7892.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, est par contre resté stable à 79.96.
Les Etats-Unis devraient dévoiler dans l'après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.