Investing.com - Les bourses européennes restaient en net recul ce lundi après-midi, l'ambiance subissant les incertitudes découlant de l'impasse aux Etats-Unis, sur fond de problèmes budgétaires.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 limitait le dégâts à 0,92%, le CAC 40 français à 0,93%, et le DAX 30 allemand à 1,05%.
John Boehner, chef de file des républicains qui dominent la chambre des représentants, a en effet assuré que ceux-ci ne voteraient pas la relance des institutions ni ne remonteraient la limite de l'endettement tant que leurs adversaires démocrates n'accepteraient pas de considérer leurs exigences de réductions de dépenses.
Ces propos ont du coup alimenté la crainte d'une poursuite de l'impasse au-delà du 17 octobre, date à laquelle le ministère des finances a averti qu'une défaillance sans précédent dans les remboursements était possible.
Les retards dans les divulgations des statistiques sapaient la crédibilité des rumeurs de réduction de voilure des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale.
La finance était encore en berne, la Deutsche Bank allemande sombrant de 1,75%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,72 et 0,10%.
La périphérie était moins unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 0,44 et 0,68%, mais les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredi émergeaient cependant de 0,18 et 0,76%.
European Aeronautic Defence & Space s'envolait d'autre part de 1,69% après que sa filiale Airbus SAS ait enregistré sa première commande de la part de Japan Airlines.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,87%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la plupart de leurs homologues continentaux.
Barclays se repliait ainsi de 0,67%, et la Royal Bank of Scotland de 0,83%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking étaient parmi les lanternes rouges avec 1,30 et 1,89%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient plus partagées, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto fondant de 0,39 et 1,56%, leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Fresnillo arrachant par contre 0,63 et 1,37%.
Le revendeur d'articles de luxe Burberry Group chutait cependant de 1,72% après que son directeur général ait déclaré dans un journal que le ralentissement des ventes en Chine pourrait se prolonger.
Les perspectives des marchés américains partageaient naturellement le pessimisme général: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,91%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,99% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,90%.
Il avait auparavant été révélé que l'économie du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu une expansion de 0,3% au second trimestre, conformément aux évaluations préliminaires et aux pronostics.
Il était cependant à noter que l'indice de la confiance des investisseurs dans la région établi par l'institut de recherches économiques Sentix subissait une érosion de 6,5 vers 6,1 pour ce mois-ci, les chicaneries politiques outre-Atlantique ayant laissé peu de chances au frémissement à 10,6 espéré d'avoir lieu.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 limitait le dégâts à 0,92%, le CAC 40 français à 0,93%, et le DAX 30 allemand à 1,05%.
John Boehner, chef de file des républicains qui dominent la chambre des représentants, a en effet assuré que ceux-ci ne voteraient pas la relance des institutions ni ne remonteraient la limite de l'endettement tant que leurs adversaires démocrates n'accepteraient pas de considérer leurs exigences de réductions de dépenses.
Ces propos ont du coup alimenté la crainte d'une poursuite de l'impasse au-delà du 17 octobre, date à laquelle le ministère des finances a averti qu'une défaillance sans précédent dans les remboursements était possible.
Les retards dans les divulgations des statistiques sapaient la crédibilité des rumeurs de réduction de voilure des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale.
La finance était encore en berne, la Deutsche Bank allemande sombrant de 1,75%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,72 et 0,10%.
La périphérie était moins unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 0,44 et 0,68%, mais les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredi émergeaient cependant de 0,18 et 0,76%.
European Aeronautic Defence & Space s'envolait d'autre part de 1,69% après que sa filiale Airbus SAS ait enregistré sa première commande de la part de Japan Airlines.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,87%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la plupart de leurs homologues continentaux.
Barclays se repliait ainsi de 0,67%, et la Royal Bank of Scotland de 0,83%, tandis que HSBC Holdings et Lloyds Banking étaient parmi les lanternes rouges avec 1,30 et 1,89%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient plus partagées, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto fondant de 0,39 et 1,56%, leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Fresnillo arrachant par contre 0,63 et 1,37%.
Le revendeur d'articles de luxe Burberry Group chutait cependant de 1,72% après que son directeur général ait déclaré dans un journal que le ralentissement des ventes en Chine pourrait se prolonger.
Les perspectives des marchés américains partageaient naturellement le pessimisme général: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,91%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,99% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,90%.
Il avait auparavant été révélé que l'économie du bloc ayant adopté la monnaie unique avait connu une expansion de 0,3% au second trimestre, conformément aux évaluations préliminaires et aux pronostics.
Il était cependant à noter que l'indice de la confiance des investisseurs dans la région établi par l'institut de recherches économiques Sentix subissait une érosion de 6,5 vers 6,1 pour ce mois-ci, les chicaneries politiques outre-Atlantique ayant laissé peu de chances au frémissement à 10,6 espéré d'avoir lieu.