Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, le spectre d'une possible défaillance dans les remboursements des Etats-Unis ayant été ravivé par l'échec des négociations sur leur budget et leur dette.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,26% pour se retrouver à 98,29.
Le président Barack Obama n'a en effet pas accepté en fin de semaine l'offre de la faction républicaine des députés pour ne relever le plafond d'endettement maximal qu'à court terme, alors que la date limite de jeudi après laquelle un défaut de paiement sans précédent risquerait d'avoir lieu approchait.
Les chefs des banques centrales et les ministres des finances du monde entier étaient dans le même temps réunis à Washington pour le congrès annuel du Fonds Monétaire International et de la Banque Mondiale, appelant à une "action en urgence" pour dégager un consensus, sous peine de nuire à la relance planétaire.
Il en alait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,10% pour grimper à 1,3553.
Une étude officielle a souligné en fin de matinée que la production industrielle de la région ayant adopté la monnaie unique avait augmenté de 1% en août, surpassant ainsi les 0,8% envisagés.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,08% pour se hisser à 1,5958, ainsi qu'au franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,14% pour tomber à 0,9109.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,02% pour monter à 0,9467, le NZD/USD engrangeant 0,50% pour culminer à 0,8363 et l'USD/CAD régressant de 0,11% pour aller vers 1,0346.
La première, fortement dépendante de la croissance, s'était retrouvée sur la sellette après qu'il ait été montré hier que l'excédent du commerce extérieur chinois avait diminué sans crier gare en septembre, alimentant les craintes au sujet des perspectives d'expansion de la seconde économie mondiale.
Il était aussi à noter que les prêts immobiliers avaient plongé de 3,9% en Australie en août, alors que 2,5% étaient déjà redoutés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,06% pour se situer à 80,44.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,26% pour se retrouver à 98,29.
Le président Barack Obama n'a en effet pas accepté en fin de semaine l'offre de la faction républicaine des députés pour ne relever le plafond d'endettement maximal qu'à court terme, alors que la date limite de jeudi après laquelle un défaut de paiement sans précédent risquerait d'avoir lieu approchait.
Les chefs des banques centrales et les ministres des finances du monde entier étaient dans le même temps réunis à Washington pour le congrès annuel du Fonds Monétaire International et de la Banque Mondiale, appelant à une "action en urgence" pour dégager un consensus, sous peine de nuire à la relance planétaire.
Il en alait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,10% pour grimper à 1,3553.
Une étude officielle a souligné en fin de matinée que la production industrielle de la région ayant adopté la monnaie unique avait augmenté de 1% en août, surpassant ainsi les 0,8% envisagés.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,08% pour se hisser à 1,5958, ainsi qu'au franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,14% pour tomber à 0,9109.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,02% pour monter à 0,9467, le NZD/USD engrangeant 0,50% pour culminer à 0,8363 et l'USD/CAD régressant de 0,11% pour aller vers 1,0346.
La première, fortement dépendante de la croissance, s'était retrouvée sur la sellette après qu'il ait été montré hier que l'excédent du commerce extérieur chinois avait diminué sans crier gare en septembre, alimentant les craintes au sujet des perspectives d'expansion de la seconde économie mondiale.
Il était aussi à noter que les prêts immobiliers avaient plongé de 3,9% en Australie en août, alors que 2,5% étaient déjà redoutés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,06% pour se situer à 80,44.