Investing.com - La livre sterling s'est sortie d'un creux bihebdomadaire face au dollar U.S. ce lundi après-midi, après que le domaine de la construction ait enregistré le mois passé sa plus nette amélioration en six ans là où elle a cours.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5978 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5968, gagnant 0,27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5902, son plancher de deux semaines établi ce matin, et de rencontrer de la résistance à 1,6045, son plafond de vendredi.
La devise de la Grande-Bretagne a en effet repris du poil de la bête après que le baromètre de l'activité dans le secteur du bâtiment du Royaume-Uni se soit élevé depuis 58,9 vers 59,4 pour octobre, sa plus forte valeur depuis septembre 2007.
Les experts pensaient pourtant une stabilisation probable.
L'étude à ce sujet précisait que les logements demeuraient en pointe, mais que les travaux à but commercial avaient connu leur évolution la plus rapide depuis avril 2012, et que le nombre des salariés avait connu sa plus forte explosion en six ans.
Le billet vert gardait pour sa part du mordant après que les bons résultats manufacturiers fournis vendredi par les Etats-Unis aient ravivé les rumeurs d'un tour de vis de leur banque centrale dès le mois prochain.
Richard Fisher, président de la réserve fédérale de Dallas, a pour sa part déclaré à l'aube lors d'un discours à Sydney que les querelles budgétaires à Washington étaient allées à l'encontre de l'ouverture des robinets destinée à alimenter la reprise.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné quelques centimètres de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0,17% pour chuter à 0,8456.
Ce dernier avait retrouvé des couleurs après que le groupe de recherches économiques Markit ait fait savoir que son indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du bloc l'ayant adoptée avait effectué un saut de puce depuis les 51,1 définitifs de septembre vers 51,3.
Celui de l'Allemagne faisait mieux, passant de 51,1 à 51,7 dans le même temps, grâce à des commandes supplémentaires et à une production renforcée.
La monnaie unique demeurait tout de même sur la sellette après qu'il ait été montré jeudi que l'inflation au son sein du bloc l'ayant adoptée avait été la plus faible en quatre ans le mois passé, laissant les coudées franches à de nouveaux assouplissements pour aider à renflouer la croissance de la part de la Banque Centrale Européenne.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5978 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5968, gagnant 0,27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5902, son plancher de deux semaines établi ce matin, et de rencontrer de la résistance à 1,6045, son plafond de vendredi.
La devise de la Grande-Bretagne a en effet repris du poil de la bête après que le baromètre de l'activité dans le secteur du bâtiment du Royaume-Uni se soit élevé depuis 58,9 vers 59,4 pour octobre, sa plus forte valeur depuis septembre 2007.
Les experts pensaient pourtant une stabilisation probable.
L'étude à ce sujet précisait que les logements demeuraient en pointe, mais que les travaux à but commercial avaient connu leur évolution la plus rapide depuis avril 2012, et que le nombre des salariés avait connu sa plus forte explosion en six ans.
Le billet vert gardait pour sa part du mordant après que les bons résultats manufacturiers fournis vendredi par les Etats-Unis aient ravivé les rumeurs d'un tour de vis de leur banque centrale dès le mois prochain.
Richard Fisher, président de la réserve fédérale de Dallas, a pour sa part déclaré à l'aube lors d'un discours à Sydney que les querelles budgétaires à Washington étaient allées à l'encontre de l'ouverture des robinets destinée à alimenter la reprise.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné quelques centimètres de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0,17% pour chuter à 0,8456.
Ce dernier avait retrouvé des couleurs après que le groupe de recherches économiques Markit ait fait savoir que son indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du bloc l'ayant adoptée avait effectué un saut de puce depuis les 51,1 définitifs de septembre vers 51,3.
Celui de l'Allemagne faisait mieux, passant de 51,1 à 51,7 dans le même temps, grâce à des commandes supplémentaires et à une production renforcée.
La monnaie unique demeurait tout de même sur la sellette après qu'il ait été montré jeudi que l'inflation au son sein du bloc l'ayant adoptée avait été la plus faible en quatre ans le mois passé, laissant les coudées franches à de nouveaux assouplissements pour aider à renflouer la croissance de la part de la Banque Centrale Européenne.