Investing.com - Les options sur le brut étaient ont vu s'apaiser leur poussée de fièvre ce mardi, après qu'il ait été montré que l'activité manufacturière de l'Allemagne avait plongé à son plus bas niveau des 37 derniers mois, ravivant l'angoisse des effets de la crise de la dette de la zone euro sur sa plus grosse économie.
Elles gardaient toutefois le sourire grâce aux résultats montrant un regain de forme dans ce secteur du côté de la Chine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 88.58 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.5%.
Ils avaient auparavant culminé à 88.96 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec un bond de 0.9%.
Leur prix est en effet retombé de son pic du jour après qu'une étude du groupe de recherches économiques Markit ait signalé que l'évaluation préliminaire de l'indice allemand des directeurs des achats du secteur secondaire était tombé de 45 vers 43.3 pour juillet.
Ces résultats servent généralement aux spécialistes pour prévoir les évolutions des besoins en carburant.
La nervosité restait également de mise, l'agence de notation Moody's ayant rabaissé après la clôture des marchés américains sa perspective de l'Allemagne, des Pays-Bas et du Luxembourg, tous notés AAA, de "stable" vers "négative".
Elle a invoqué la possibilité d'un départ de Grèce hors de la zone euro et les conséquences qu'un tel évènement aurait sur l'Espagne et l'Italie.
Les observateurs guettaient aussi une adjudication de dettes de l'Espagne, dans la crainte que le renflouement des banques du pays ne suffise pas à tuer dans l'oeuf ses problèmes de surendettement.
La quatrième économie régionale comptait mettre entre 2 et 3 milliards d'euros en bons du trésor à trois et six mois à la mi-journée.
Le taux des emprunts décennaux nationaux est quand à lui retombé à 7.42% en début de matinée, après avoir établi hier un nouveau record à 7.57%, du jamais vu depuis l'adoption de la monnaie unique, dépassant largement le seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme.
Les acteurs du marché pétrolier gardent toujours un oeil sur l'évolution de la crise de la dette de la zone euro, certains d'entre eux redoutant que l'aggravation de la crise de la dette souveraine régionale ne déclenche un ralentissement économique général, qui pourrait entraîner un apaisement de la voracité pétrolière.
Le moral a toutefois repris quelques couleurs après qu'il ait été révélé que l'indice HSBC des directeurs des achats chinois était remonté depuis 48.2 vers 49.5 pour juillet, son niveau le plus élevé depuis février.
Il demeurait cependant sous la barre des 50 séparant la régression et l'expansion, mais cette amélioration a tout de même apaisé l'angoisse d'un ralentissement de la seconde économie mondiale.
Sa consommation n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont gagné 0.6% pour grimper à 103.89 USD du baril dans le même temps, soit 15.31 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Elles gardaient toutefois le sourire grâce aux résultats montrant un regain de forme dans ce secteur du côté de la Chine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 88.58 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.5%.
Ils avaient auparavant culminé à 88.96 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec un bond de 0.9%.
Leur prix est en effet retombé de son pic du jour après qu'une étude du groupe de recherches économiques Markit ait signalé que l'évaluation préliminaire de l'indice allemand des directeurs des achats du secteur secondaire était tombé de 45 vers 43.3 pour juillet.
Ces résultats servent généralement aux spécialistes pour prévoir les évolutions des besoins en carburant.
La nervosité restait également de mise, l'agence de notation Moody's ayant rabaissé après la clôture des marchés américains sa perspective de l'Allemagne, des Pays-Bas et du Luxembourg, tous notés AAA, de "stable" vers "négative".
Elle a invoqué la possibilité d'un départ de Grèce hors de la zone euro et les conséquences qu'un tel évènement aurait sur l'Espagne et l'Italie.
Les observateurs guettaient aussi une adjudication de dettes de l'Espagne, dans la crainte que le renflouement des banques du pays ne suffise pas à tuer dans l'oeuf ses problèmes de surendettement.
La quatrième économie régionale comptait mettre entre 2 et 3 milliards d'euros en bons du trésor à trois et six mois à la mi-journée.
Le taux des emprunts décennaux nationaux est quand à lui retombé à 7.42% en début de matinée, après avoir établi hier un nouveau record à 7.57%, du jamais vu depuis l'adoption de la monnaie unique, dépassant largement le seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme.
Les acteurs du marché pétrolier gardent toujours un oeil sur l'évolution de la crise de la dette de la zone euro, certains d'entre eux redoutant que l'aggravation de la crise de la dette souveraine régionale ne déclenche un ralentissement économique général, qui pourrait entraîner un apaisement de la voracité pétrolière.
Le moral a toutefois repris quelques couleurs après qu'il ait été révélé que l'indice HSBC des directeurs des achats chinois était remonté depuis 48.2 vers 49.5 pour juillet, son niveau le plus élevé depuis février.
Il demeurait cependant sous la barre des 50 séparant la régression et l'expansion, mais cette amélioration a tout de même apaisé l'angoisse d'un ralentissement de la seconde économie mondiale.
Sa consommation n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont gagné 0.6% pour grimper à 103.89 USD du baril dans le même temps, soit 15.31 USD de mieux que leurs homologues américaines.