Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce mardi, l'atmosphère se trouvant obscurcie par le doute concernant la capacité de la Grèce à surmonter l'obstacle de sa dette malgré l'annonce d'un nouveau plan de sauvetage.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.21% pour grimper à 1.3269.
Lors de leur réunion, les ministres des finances de la zone euro ont en effet donné leur feu vert au plan à hauteur de 130 milliards d'euros destiné à diminuer la dette de la nation hellène 120.5% de son produit intérieur brut sur huit ans, et réduisant le taux d'emprunt de la prémière bouée de sauvetage dont il a bénéficié.
Les créanciers privés ont aussi accepté de voir les obligations qu'ils détiennent subir une dévaluation de plus de 53%.
Les investisseurs demeuraient inquiets quand à la mise en place du programme de secours, tandis que la "Troika" constituée de l'Union Européenne, de la Banque Centrale Européenne et du Fonds Monétaire International, déclarait que "davantage d'aides" pour payer ses dettes pourraient être nécessaires dans le futur.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.03% pour se hisser à 1.5854.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que les emprunts nets du secteur public britannique avaient davantage diminué en janvier que prévu, dégageant 10.7 milliards de livres sterling surnuméraires pour le mois, contre un déficit de 11.1 milliards lors du précédent.
Les experts ne s'attendaient pourtant pas à un excédent dépassant les 9.1 milliards de GBP sur la période considérée.
Le yen a par contre subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY avançant de 0.26% pour se retrouver à 79.83 et l'USD/CHF trébuchant de 0.09% pour tomber à 0.9107.
Des informations émanant des autorités montraient ce matin que le surplus de la balance commerciale suisse avait diminué en janvier sans crier gare, passant ainsi de 2.01 à 1.55 milliards de CHF.
Les spécialistes espéraient pourtant le voir grimper jusqu'à 2.5 milliards.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.12% pour aller vers 0.9946, l'AUD/USD cédant 0.56% pour descendre à 1.0695 et le NZD/USD glissant de 0.35% pour toucher le fond à 0.8371.
La Réserve Bancaire d'Australie avait auparavant rappelé dans le compte-rendu de sa réunion de février sa volonté d'assouplir sa politique au cas où la demande pour les matières premières et les produits de première nécessité devait "faiblir de manière notable", tout en maintenant ses taux pour le mois.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande a pour sa part énnoncé que son inflation attendue était passée à 2.5% pour le premier trimestre, contre 2.8% pour le précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.11% pour se situer à 79.01.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.21% pour grimper à 1.3269.
Lors de leur réunion, les ministres des finances de la zone euro ont en effet donné leur feu vert au plan à hauteur de 130 milliards d'euros destiné à diminuer la dette de la nation hellène 120.5% de son produit intérieur brut sur huit ans, et réduisant le taux d'emprunt de la prémière bouée de sauvetage dont il a bénéficié.
Les créanciers privés ont aussi accepté de voir les obligations qu'ils détiennent subir une dévaluation de plus de 53%.
Les investisseurs demeuraient inquiets quand à la mise en place du programme de secours, tandis que la "Troika" constituée de l'Union Européenne, de la Banque Centrale Européenne et du Fonds Monétaire International, déclarait que "davantage d'aides" pour payer ses dettes pourraient être nécessaires dans le futur.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.03% pour se hisser à 1.5854.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que les emprunts nets du secteur public britannique avaient davantage diminué en janvier que prévu, dégageant 10.7 milliards de livres sterling surnuméraires pour le mois, contre un déficit de 11.1 milliards lors du précédent.
Les experts ne s'attendaient pourtant pas à un excédent dépassant les 9.1 milliards de GBP sur la période considérée.
Le yen a par contre subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY avançant de 0.26% pour se retrouver à 79.83 et l'USD/CHF trébuchant de 0.09% pour tomber à 0.9107.
Des informations émanant des autorités montraient ce matin que le surplus de la balance commerciale suisse avait diminué en janvier sans crier gare, passant ainsi de 2.01 à 1.55 milliards de CHF.
Les spécialistes espéraient pourtant le voir grimper jusqu'à 2.5 milliards.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.12% pour aller vers 0.9946, l'AUD/USD cédant 0.56% pour descendre à 1.0695 et le NZD/USD glissant de 0.35% pour toucher le fond à 0.8371.
La Réserve Bancaire d'Australie avait auparavant rappelé dans le compte-rendu de sa réunion de février sa volonté d'assouplir sa politique au cas où la demande pour les matières premières et les produits de première nécessité devait "faiblir de manière notable", tout en maintenant ses taux pour le mois.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande a pour sa part énnoncé que son inflation attendue était passée à 2.5% pour le premier trimestre, contre 2.8% pour le précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.11% pour se situer à 79.01.