Investing.com - L'euro a vu s'amenuiser sa progression face à la livre sterling ce mardi, après qu'il ait été montré que l'économie de la région où il a cours avait subi une régression sans surprise au second trimestre, et qu'une autre étude déplorait un fléchissement du moral économique allemand pour ce mois-ci.
La paire EUR/GBP est redescendue depuis 0.7885, son cours le plus élevé depuis le 9 août, jusqu'à 0.7873 en première partie de séance européenne, prenant tout de même 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.7827, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 0.79, son plafond déjà évoqué.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a en effet déclaré que le produit intérieur brut de la région avait comme prévu reculé de 0.2% d'avril à juin, après avoir stagné lors des trois mois précédents.
La contraction aura ainsi été de 0.4% d'une année sur l'autre, conformément aux prédictions.
D'autres chiffres officiels avaient auparavant signalé que l'Allemagne avait connu 0.3% d'expansion dans le même temps, au lieu des 0.2% espérés, après les 0.5% du premier trimestre.
Il était d'autre part à noter que la France avait de son côté stagné sur la même période, alors qu'une contraction de 0.1% était crainte.
Le centre de recherches économiques ZEW a quand à lui fait savoir que son baromètre de l'humeur économique des allemands avait plongé de -19.6 à -25.5 pour août, alors qu'une timide remontée à -19.3 était envisagée.
Une autre étude soulignait par contre que la production industrielle de la zone euro avait dérapé de 0.6% en juin, donc à peine moins que les 0.7% qui étaient craints.
Les autorités britanniques ont d'autre part fait savoir que l'inflation à la consommation nationale avait connu en juin une hausse inattendue, étouffant du même coup les espoirs d'accomodements monétaires imminents de la part de la Banque d'Angleterre.
Le bureau national des statistiques a en effet révélé que les prix au détail avaient augmenté de 2.6% après ajustement saisonnier pour juillet, contre 2.4% précédemment, alors que les experts pensaient pourtant les voir légèrement diminuer jusqu'à 2.3%.
Ils auront ainsi pris 0.1% d'un mois sur l'autre, au lieu de fléchir d'un pourcentage identique, après avoir trébuché de 0.4% en juin.
La monnaie unique a également vu son emprise sur le dollar U.S. et le yen se relâcher, l'EUR/USD se contentant de 0.21% pour se hisser à 1.2358 après avoir culminé à 1.2386, et l'EUR/JPY gardant tout de même un avantage de 0.43% pour s'élever à 97.03, alors qu'il avait établi un sommet journalier à 97.31.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer en fin de journée le volume de leurs ventes au détail et les variations dans leurs coûts de production.
La paire EUR/GBP est redescendue depuis 0.7885, son cours le plus élevé depuis le 9 août, jusqu'à 0.7873 en première partie de séance européenne, prenant tout de même 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.7827, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 0.79, son plafond déjà évoqué.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a en effet déclaré que le produit intérieur brut de la région avait comme prévu reculé de 0.2% d'avril à juin, après avoir stagné lors des trois mois précédents.
La contraction aura ainsi été de 0.4% d'une année sur l'autre, conformément aux prédictions.
D'autres chiffres officiels avaient auparavant signalé que l'Allemagne avait connu 0.3% d'expansion dans le même temps, au lieu des 0.2% espérés, après les 0.5% du premier trimestre.
Il était d'autre part à noter que la France avait de son côté stagné sur la même période, alors qu'une contraction de 0.1% était crainte.
Le centre de recherches économiques ZEW a quand à lui fait savoir que son baromètre de l'humeur économique des allemands avait plongé de -19.6 à -25.5 pour août, alors qu'une timide remontée à -19.3 était envisagée.
Une autre étude soulignait par contre que la production industrielle de la zone euro avait dérapé de 0.6% en juin, donc à peine moins que les 0.7% qui étaient craints.
Les autorités britanniques ont d'autre part fait savoir que l'inflation à la consommation nationale avait connu en juin une hausse inattendue, étouffant du même coup les espoirs d'accomodements monétaires imminents de la part de la Banque d'Angleterre.
Le bureau national des statistiques a en effet révélé que les prix au détail avaient augmenté de 2.6% après ajustement saisonnier pour juillet, contre 2.4% précédemment, alors que les experts pensaient pourtant les voir légèrement diminuer jusqu'à 2.3%.
Ils auront ainsi pris 0.1% d'un mois sur l'autre, au lieu de fléchir d'un pourcentage identique, après avoir trébuché de 0.4% en juin.
La monnaie unique a également vu son emprise sur le dollar U.S. et le yen se relâcher, l'EUR/USD se contentant de 0.21% pour se hisser à 1.2358 après avoir culminé à 1.2386, et l'EUR/JPY gardant tout de même un avantage de 0.43% pour s'élever à 97.03, alors qu'il avait établi un sommet journalier à 97.31.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer en fin de journée le volume de leurs ventes au détail et les variations dans leurs coûts de production.