Investing.com - La livre sterling a gardé la forme face au dollar U.S. ce mercredi après-midi, les investisseurs guettant la publication du procès-verbal de la dernière réunion de la Réserve Fédérale, dans l'ombre persistante de la crise de la dette de la zone euro.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5578 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 5 juillet, puis s'est stabilisée vers 1.5572, gagnant 0.34%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5477, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.5621, son plafond du 6 juillet.
Le moral restait fragilisé après que la cour constitutionnelle allemande ait repoussé hier sa prise de décision concernant la compatibilité du Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours régional, et des modifications de la législation fiscale découlant de sa mise en place avec les lois nationales.
Elle a affirmé que la question pourrait lui prendre des mois plutôt que des semaines, en raison de sa complexité, mais sans l'appui germanique, le MES, qui devait être lancé le premier juillet, puis le 9, ne peut être mis en action.
Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, a pour sa part annoncé 65 milliards d'euros de mesures de rigueur en début de journée, dans l'espoir de remplir les objectifs de réduction des déficits approuvés par ses partenaires régionaux.
Les analystes ont toutefois averti que celles-ci avaient de grandes chances de plonger l'économie du pays dans une récession encore plus profonde.
Cette annonce survenait au lendemain de la dernière rencontre des ministres des finances de la zone euro.
Ceux-ci ont eu beau accorder à l'Espagne un an de plus, donc jusqu'à 2014, pour remettre son budget en ordre, ils n'ont toutefois pas pu fournir un chiffre définitif du montant des aides au secteur bancaire déliquescent du pays, prévoyant toutefois de fournir 30 milliards d'euros d'ici la fin du mois.
La devise de la Grande-Bretagne avait retrouvé le sourire après que le bureau national des statistiques britannique ait montré hier que la production manufacturée nationale avait augmenté de 1.2% en mai, pulvérisant ainsi les 0.1% espérés, et contrant du même coup les 0.8% de recul précédents.
Il était d'autre part à noter que le déficit du commerce extérieur des biens avait davantage diminué qu'espéré pour le même mois, leur volume exporté ayant progressé par rapport à avril.
La monnaie du Royaume-Uni ne quittait pas les abords de son nouveau pic de trois ans et demi établi face à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.11% pour glisser à 0.7885.
Les Etats-Unis fourniront de leur côté en fin de journée le solde de leur commerce extérieur, ainsi que l'inventaire de leurs réserves pétrolières, avant le compte-rendu de la réunion du conseil directeur de leur banque centrale s'étant déroulée en juin.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5578 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 5 juillet, puis s'est stabilisée vers 1.5572, gagnant 0.34%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5477, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.5621, son plafond du 6 juillet.
Le moral restait fragilisé après que la cour constitutionnelle allemande ait repoussé hier sa prise de décision concernant la compatibilité du Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours régional, et des modifications de la législation fiscale découlant de sa mise en place avec les lois nationales.
Elle a affirmé que la question pourrait lui prendre des mois plutôt que des semaines, en raison de sa complexité, mais sans l'appui germanique, le MES, qui devait être lancé le premier juillet, puis le 9, ne peut être mis en action.
Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, a pour sa part annoncé 65 milliards d'euros de mesures de rigueur en début de journée, dans l'espoir de remplir les objectifs de réduction des déficits approuvés par ses partenaires régionaux.
Les analystes ont toutefois averti que celles-ci avaient de grandes chances de plonger l'économie du pays dans une récession encore plus profonde.
Cette annonce survenait au lendemain de la dernière rencontre des ministres des finances de la zone euro.
Ceux-ci ont eu beau accorder à l'Espagne un an de plus, donc jusqu'à 2014, pour remettre son budget en ordre, ils n'ont toutefois pas pu fournir un chiffre définitif du montant des aides au secteur bancaire déliquescent du pays, prévoyant toutefois de fournir 30 milliards d'euros d'ici la fin du mois.
La devise de la Grande-Bretagne avait retrouvé le sourire après que le bureau national des statistiques britannique ait montré hier que la production manufacturée nationale avait augmenté de 1.2% en mai, pulvérisant ainsi les 0.1% espérés, et contrant du même coup les 0.8% de recul précédents.
Il était d'autre part à noter que le déficit du commerce extérieur des biens avait davantage diminué qu'espéré pour le même mois, leur volume exporté ayant progressé par rapport à avril.
La monnaie du Royaume-Uni ne quittait pas les abords de son nouveau pic de trois ans et demi établi face à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.11% pour glisser à 0.7885.
Les Etats-Unis fourniront de leur côté en fin de journée le solde de leur commerce extérieur, ainsi que l'inventaire de leurs réserves pétrolières, avant le compte-rendu de la réunion du conseil directeur de leur banque centrale s'étant déroulée en juin.