TP Ferro, une société espagnole dont Eiffage détient 50% aux côtés du groupe ACS, a demandé à la justice de bénéficier d'une procédure lui permettant de poursuivre pendant quatre les discussions portant sur le refinancement de sa dette.
Le groupe de BTP explique que les négociations entamées par TP Ferro, concessionnaire de la ligne à grande vitesse Perpignan-Figueras, avec ses prêteurs et le Royaume d'Espagne et la République française 'n'ont pas encore abouti'.
La procédure du 'pre concurso' doit lui permettre de poursuivre les discussions conformément à la loi espagnole sur les procédures collectives.
Cette procédure n'aura pas d'impact sur le service ferroviaire entre la France et l'Espagne, assure Eiffage dans un communiqué.
'L'objectif de TP Ferro est de trouver, avec l'ensemble des parties prenantes, une solution au refinancement de sa dette sans recours qui fut contractée pour financer la construction de la liaison ferroviaire à grande vitesse entre la France et l'Espagne', est-il précisé dans le communiqué.
Pour mémoire, le fait que la section n'ait été raccordée au réseau espagnol à grande vitesse que fin décembre 2013, avec près de cinq ans de retard, a affecté l'équilibre de la concession.
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Le groupe de BTP explique que les négociations entamées par TP Ferro, concessionnaire de la ligne à grande vitesse Perpignan-Figueras, avec ses prêteurs et le Royaume d'Espagne et la République française 'n'ont pas encore abouti'.
La procédure du 'pre concurso' doit lui permettre de poursuivre les discussions conformément à la loi espagnole sur les procédures collectives.
Cette procédure n'aura pas d'impact sur le service ferroviaire entre la France et l'Espagne, assure Eiffage dans un communiqué.
'L'objectif de TP Ferro est de trouver, avec l'ensemble des parties prenantes, une solution au refinancement de sa dette sans recours qui fut contractée pour financer la construction de la liaison ferroviaire à grande vitesse entre la France et l'Espagne', est-il précisé dans le communiqué.
Pour mémoire, le fait que la section n'ait été raccordée au réseau espagnol à grande vitesse que fin décembre 2013, avec près de cinq ans de retard, a affecté l'équilibre de la concession.
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