Cargojet Inc. (TSX: CJT) a affiché une solide performance financière au troisième trimestre 2024, avec une augmentation de 15 % de ses revenus globaux et une hausse de 17 % de son EBITDA ajusté, comme annoncé lors de sa dernière alerte résultats. Les dirigeants de l'entreprise, dont le président exécutif Ajay Virmani et les co-PDG Pauline Dhillon et Jamie Porteous, ont attribué cette croissance à des changements stratégiques ciblant les opportunités de fret aérien, en particulier dans l'e-commerce et les perturbations géopolitiques.
Malgré un environnement macroéconomique difficile pour le transport et de faibles volumes domestiques en Amérique du Nord, les segments ACMI et All-in Charter de Cargojet ont enregistré des gains significatifs, avec une croissance record de 60,2 % pour ce dernier. L'entreprise a également souligné l'accélération des investissements dans sa flotte et une forte concentration sur l'allocation du capital.
Points clés
- Les revenus de Cargojet au T3 2024 ont augmenté de 15 %, avec une croissance de l'EBITDA ajusté de 17 %.
- Le bénéfice ajusté par action a bondi à 1,48 $, une hausse significative par rapport à 0,15 $ en glissement annuel.
- L'entreprise investit dans deux nouveaux avions Boeing 767-300, prévoyant des dépenses d'investissement de croissance de 70 à 80 millions $ pour l'exercice 2024.
- Un total de 157 millions $ a été restitué aux actionnaires via des rachats d'actions depuis novembre 2023.
- Cargojet a réduit son levier financier à 2,2 fois l'EBITDA et atteint un taux de ponctualité de 98,7 %.
- L'entreprise est prête pour la saison des fêtes avec des équipes IT, finance et opérations renforcées.
Perspectives de l'entreprise
- Cargojet anticipe une forte performance au T4 en raison d'une demande accrue des clients nationaux et d'opportunités de charter supplémentaires.
- L'entreprise prévoit de revenir à un minimum de trois vols par semaine pour son contrat avec la Chine en 2025, la demande actuelle atteignant un pic de cinq à six vols.
Points négatifs
- Les coûts de démarrage ponctuels, notamment liés à la formation des pilotes et aux heures supplémentaires, ont impacté l'efficacité opérationnelle.
- Les frais de vente, généraux et administratifs ont augmenté en raison des hausses de salaires liées à l'inflation et des coûts IT.
- La direction s'attend à ce que les marges d'EBITDA normalisées n'augmentent pas significativement en raison des pressions salariales continues et des impacts de change.
Points positifs
- Cargojet a clôturé le T3 avec 47,8 millions $ de flux de trésorerie disponible, une augmentation par rapport à l'année précédente.
- L'entreprise maintient un bilan prudent tout en soutenant la croissance des dividendes et les rachats d'actions.
- Les revenus par heure de vol ont connu des fluctuations, mais l'entreprise a pu maintenir un taux de revenus charter solide de plus de 40 millions $ par trimestre.
Points manqués
- L'entreprise manque d'environ 50 pilotes, entraînant une augmentation des coûts de formation et des défis opérationnels.
- Les problèmes de main-d'œuvre de Postes Canada pourraient potentiellement affecter la compétitivité future et la fréquence des services.
Points saillants de la séance de questions-réponses
- L'entreprise a abordé le problème de pénurie de pilotes, avec un effectif actuel de 70 pilotes contre un idéal de 450.
- Les potentielles augmentations de tarifs américains sous une présidence Trump ont été discutées, l'entreprise exprimant sa confiance dans son modèle d'affaires global plutôt que centré sur les États-Unis.
- Malgré les défis, Cargojet a connu une forte croissance des volumes à la fin du T3 et reste prudemment optimiste quant au maintien de cette dynamique.
L'alerte résultats du troisième trimestre de Cargojet a dressé le portrait d'une entreprise naviguant avec succès dans un paysage de transport complexe, tirant parti de la montée de l'e-commerce et s'adaptant aux changements géopolitiques. Avec une concentration stratégique sur l'optimisation de la flotte et l'allocation du capital, Cargojet se positionne pour une croissance soutenue tout en gérant les vents contraires des coûts de l'industrie et des facteurs macroéconomiques.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.