Investing.com - Les places d'Asie concluaient sur une note mitigée ce mardi matin, les opérateurs prenant position à la veille de la réunion du conseil de direction de la banque centrale américaine, sur fond de rumeurs grandissantes d'une réduction de ses acquisitions d'actifs de la Réserve Fédérale dès cette année.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0,25%, le Hang Seng de Hong Kong 0,30% et le Nikkei 225 japonais 0,20%.
Sydney était sur la défensive bien que le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie ait indiqué qu'elle était prête à continuer à raboter à nouveau ses taux au besoin.
La bande des quatre plus grosses banques nationales a suivi le mouvement, l'Australia and New Zealand Banking Group glissant de 0,30% et la National Australia Bank de 0,60%, tandis que le Westpac Banking Group limitait les dégâts à 0,10%.
Hong Kong était aussi timide, son activité demeurant faible, les observateurs retenant leur souffle, les yeux braqués sur la prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera demain.
L'atmosphère s'était assombrie la semaine passée en raison des bruits de plus en plus amplifiés affirmant que celle-ci pourrait fermer ses vannes en cours d'année.
Les promoteurs immobiliers étaient en difficulté, après qu'il ait été montré que les prix de l'immobilier chinois avaient augmenté le mois dernier, étouffant les espoirs de dégonflement de la bulle du secteur.
China Overseas Land & Investment s'écroulait de 1,90%, Gemdale Properties de 0,90%, et New World Development de 1,10%.
Tokyo oscillait du coup entre légers gains et pertes minimes, les grands noms de l'exportation nationaux profitant de l'érosion du yen contre son homologue américain, qui modérait leurs projections de recettes à l'étranger.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 94,94, son cours le plus élevé du jour, après avoir plongé hier jusqu'à 94,22, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie de l'archipel, augmentant la valeur des devises obtenues dans d'autres pays.
Les constructeurs automobiles Mazda et Toyota avançaient ainsi respectivement de 1,10 et 1,75%, suivis de Sharp et Sony avec 1,2 et 4,4%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait lui aussi peu reluisant, l'attention étant désormais focalisée sur les résultats de la prise de cap de la Fed.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0,30%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,35%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,2% et sur le FTSE 100 britannique à 0,1%.
Le centre de recherches économiques ZEW fournira un rapport très attendu sur le moral économique allemand, et les autorités des Etats-Unis annonceront de leur côté le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, celui des lancements de chantiers et les variations des prix au détail.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0,25%, le Hang Seng de Hong Kong 0,30% et le Nikkei 225 japonais 0,20%.
Sydney était sur la défensive bien que le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie ait indiqué qu'elle était prête à continuer à raboter à nouveau ses taux au besoin.
La bande des quatre plus grosses banques nationales a suivi le mouvement, l'Australia and New Zealand Banking Group glissant de 0,30% et la National Australia Bank de 0,60%, tandis que le Westpac Banking Group limitait les dégâts à 0,10%.
Hong Kong était aussi timide, son activité demeurant faible, les observateurs retenant leur souffle, les yeux braqués sur la prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera demain.
L'atmosphère s'était assombrie la semaine passée en raison des bruits de plus en plus amplifiés affirmant que celle-ci pourrait fermer ses vannes en cours d'année.
Les promoteurs immobiliers étaient en difficulté, après qu'il ait été montré que les prix de l'immobilier chinois avaient augmenté le mois dernier, étouffant les espoirs de dégonflement de la bulle du secteur.
China Overseas Land & Investment s'écroulait de 1,90%, Gemdale Properties de 0,90%, et New World Development de 1,10%.
Tokyo oscillait du coup entre légers gains et pertes minimes, les grands noms de l'exportation nationaux profitant de l'érosion du yen contre son homologue américain, qui modérait leurs projections de recettes à l'étranger.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 94,94, son cours le plus élevé du jour, après avoir plongé hier jusqu'à 94,22, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie de l'archipel, augmentant la valeur des devises obtenues dans d'autres pays.
Les constructeurs automobiles Mazda et Toyota avançaient ainsi respectivement de 1,10 et 1,75%, suivis de Sharp et Sony avec 1,2 et 4,4%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait lui aussi peu reluisant, l'attention étant désormais focalisée sur les résultats de la prise de cap de la Fed.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0,30%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,35%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,2% et sur le FTSE 100 britannique à 0,1%.
Le centre de recherches économiques ZEW fournira un rapport très attendu sur le moral économique allemand, et les autorités des Etats-Unis annonceront de leur côté le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, celui des lancements de chantiers et les variations des prix au détail.