Le titre Demos accuse le coup ce lundi, décrochant de 35,4% à la mi-séance après des comptes semestriels qui déçoivent les opérateurs.
Le groupe a pourtant réduit sa perte nette part du groupe, passée de 5,5 à 5,2 millions d'euros en rythme annuel.
L'Ebitda a en revanche légèrement réculé pour s'établir à - 985.000 euros, à comparer avec - 946.000 euros, tout comme la perte d'exploitation, ressortie à 2,9 millions contre 2,7 millions l'an passé à la même époque.
Le chiffre d'affaires s'est pour sa part élevé à 45,2 millions d'euros, contre environ 39,5 millions à l'issue des 6 premiers mois de l'exercice clos. Cependant, il est rappelé que les modalités de comptabilisation des ventes ont été modifiées en
décembre 2014 à la demande des commissaires aux comptes concernant les prestations de formation organisées par Demos et sous traitées à des tiers. A périmètre comparable, c'est-à-dire hors activités cédées et hors prestations sous traitées non comptabilisées dans le chiffre d'affaires du premier semestre 2014, les ventes s'inscrivent en retrait de 2,1%.
Les effets de la réforme de la formation professionnelle continueront à impacter négativement le marché français au second semestre, a averti Demos. Les activités à l'international devraient en revanche rester sur une bonne dynamique.
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Le groupe a pourtant réduit sa perte nette part du groupe, passée de 5,5 à 5,2 millions d'euros en rythme annuel.
L'Ebitda a en revanche légèrement réculé pour s'établir à - 985.000 euros, à comparer avec - 946.000 euros, tout comme la perte d'exploitation, ressortie à 2,9 millions contre 2,7 millions l'an passé à la même époque.
Le chiffre d'affaires s'est pour sa part élevé à 45,2 millions d'euros, contre environ 39,5 millions à l'issue des 6 premiers mois de l'exercice clos. Cependant, il est rappelé que les modalités de comptabilisation des ventes ont été modifiées en
décembre 2014 à la demande des commissaires aux comptes concernant les prestations de formation organisées par Demos et sous traitées à des tiers. A périmètre comparable, c'est-à-dire hors activités cédées et hors prestations sous traitées non comptabilisées dans le chiffre d'affaires du premier semestre 2014, les ventes s'inscrivent en retrait de 2,1%.
Les effets de la réforme de la formation professionnelle continueront à impacter négativement le marché français au second semestre, a averti Demos. Les activités à l'international devraient en revanche rester sur une bonne dynamique.
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