La quatrième vague de la pandémie force à revoir à la baisse la croissance économique envisagée pour le troisième trimestre. De combien ? On ne la sait pas bien, mais le tempo de l’activité resterait élevé ; juste plus faible. Cet ajustement nécessaire modifie-t-il les termes du débat sur le risque inflationniste ? Probablement pas.