Investing.com - Les options sur le brut étaient légèrement à la baisse en fin de semaine, en conclusion d'une semaine instable et tumultueuse pour elles, les observateurs peinant à évaluer la santé économique du premier demandeur mondial.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 85.69 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, constituant un recul de 1.6% pour sa troisième semaine de déclin d'affilée.
Ils avaient dégringolé de près de 6% lundi, Le moral des investisseurs ayant en effet été mis à mal après que l'agence Standard & Poor's ait décidé d'abaisser d'un cran son appréciation des obligations des Etats-Unis de AAA vers AA+ après la fermeture des marchés du vendredi précédent.
Elle l'a par ailleurs maintenue sous une perspective négative, indiquant qu'elle pourrait récidiver d'ici 12 à 18 mois.
Cette manoeuvre a poussé les acteurs de marchés à éviter les positions les plus risquées, notamment les actions et les devises à haut rendement, pour s'en tenir aux refuges traditionnels comme le yen, le swissy et l'or.
Ces pertes se sont aggravées mardi, le baril touchant le fond à 75.72 USD, son pire niveau depuis septembre, la demande attendue se trouvant amenuisée par les craintes concernant la reprise économique mondiale.
L'annonce par la banque centrale américaine du maintien son taux d'intérêt directeur à son pire niveau de tous les temps leur a toutefois permis de rebondir, précisant que sa politique monétaire resterait assouplie jusqu'à ce que "la première moitié de l'année 2013 soit passée".
Elle a également rappelé qu'elle "étudiait la gamme d'outils à sa disposition pour renforcer la reprise économique dans un contexte de stabilité des prix" et qu'elle était prête à s'en servir "si nécessaire".
Ces déclarations ont alimenté les rumeurs selon lesquelles la banque centrale américaine pourrait déclencher une troisième série d'assouplissements monétaires, après que la seconde ait pris fin en juin.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié hier que les réserves nationales de pétrole brut avaient baissé de 5.2 millions de barils la semaine passée, leur dégringolade la plus importante depuis la semaine achevée le 17 décembre.
Il était aussi indiqué que le stock d'essence automobile avait perdu 1.6 millions de barils, prenant de court les experts pensant les voir accumuler 900 000 barils supplémentaires.
Les prix ont bondi de presque 4.8% jeudi, après qu'un rapport gouvernemental ait montré que les nouvelles inscriptions au chômage étaient tombées à leur nombre le plus bas en quatre mois la semaine précédente.
Les négociants en produits énergétiques observent les chiffres de l'emploi de près ces dernières semaines, afin de juger de l'importance de la demande américaine, les salariés retrouvant un travail ayant généralement besoin de conduire et consommant donc de l'énergie.
Des informations émanant des autorités américaines avaient par ailleurs indiqué vendredi que les ventes au détail avaient augmenté de 0.5% en juillet, signant elles aussi leur meilleure performance sur les quatre derniers mois.
Les incertitudes pesant sur le futur économique des Etats-Unis restaient encore vives après que l'indice préliminaire de l'université du Michigan sur le moral des consommateurs ait plongé pour août à son pire niveau en trente ans.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont laissé achapper 0.6% pour descendre à 107.61 USD du baril dans le même temps, soit 21.92 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 85.69 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, constituant un recul de 1.6% pour sa troisième semaine de déclin d'affilée.
Ils avaient dégringolé de près de 6% lundi, Le moral des investisseurs ayant en effet été mis à mal après que l'agence Standard & Poor's ait décidé d'abaisser d'un cran son appréciation des obligations des Etats-Unis de AAA vers AA+ après la fermeture des marchés du vendredi précédent.
Elle l'a par ailleurs maintenue sous une perspective négative, indiquant qu'elle pourrait récidiver d'ici 12 à 18 mois.
Cette manoeuvre a poussé les acteurs de marchés à éviter les positions les plus risquées, notamment les actions et les devises à haut rendement, pour s'en tenir aux refuges traditionnels comme le yen, le swissy et l'or.
Ces pertes se sont aggravées mardi, le baril touchant le fond à 75.72 USD, son pire niveau depuis septembre, la demande attendue se trouvant amenuisée par les craintes concernant la reprise économique mondiale.
L'annonce par la banque centrale américaine du maintien son taux d'intérêt directeur à son pire niveau de tous les temps leur a toutefois permis de rebondir, précisant que sa politique monétaire resterait assouplie jusqu'à ce que "la première moitié de l'année 2013 soit passée".
Elle a également rappelé qu'elle "étudiait la gamme d'outils à sa disposition pour renforcer la reprise économique dans un contexte de stabilité des prix" et qu'elle était prête à s'en servir "si nécessaire".
Ces déclarations ont alimenté les rumeurs selon lesquelles la banque centrale américaine pourrait déclencher une troisième série d'assouplissements monétaires, après que la seconde ait pris fin en juin.
L'agence américaine d'information sur l'énergie avait fait savoir dans son rapport hebdomadaire publié hier que les réserves nationales de pétrole brut avaient baissé de 5.2 millions de barils la semaine passée, leur dégringolade la plus importante depuis la semaine achevée le 17 décembre.
Il était aussi indiqué que le stock d'essence automobile avait perdu 1.6 millions de barils, prenant de court les experts pensant les voir accumuler 900 000 barils supplémentaires.
Les prix ont bondi de presque 4.8% jeudi, après qu'un rapport gouvernemental ait montré que les nouvelles inscriptions au chômage étaient tombées à leur nombre le plus bas en quatre mois la semaine précédente.
Les négociants en produits énergétiques observent les chiffres de l'emploi de près ces dernières semaines, afin de juger de l'importance de la demande américaine, les salariés retrouvant un travail ayant généralement besoin de conduire et consommant donc de l'énergie.
Des informations émanant des autorités américaines avaient par ailleurs indiqué vendredi que les ventes au détail avaient augmenté de 0.5% en juillet, signant elles aussi leur meilleure performance sur les quatre derniers mois.
Les incertitudes pesant sur le futur économique des Etats-Unis restaient encore vives après que l'indice préliminaire de l'université du Michigan sur le moral des consommateurs ait plongé pour août à son pire niveau en trente ans.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont laissé achapper 0.6% pour descendre à 107.61 USD du baril dans le même temps, soit 21.92 USD de mieux que leurs homologues américaines.