La Bourse de Paris devrait ouvrir de l'équilibre vendredi matin, aidée notamment par la stabilisation des cours du pétrole.
Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison juillet - recule de six petits points à 5267,5 points, annonçant un début de séance sans grand changement.
Facteur de soutien après les soubresauts des derniers jours, le baril de brut léger américain WTI semble vouloir se stabiliser autour des 43 dollars, affichant actuellement une progression de 0,5% à 42,9 dollars.
Le marché parisien prolonge depuis quelques séances une dérive à l'horizontale, dans un biseau qui semble se resserrer entre 5230 et 5340 points.
Aucun signal directionnel n'émerge, mais la multiplication des contrepieds en séance depuis 10 jours pourrait être un précurseur de remise en cause du 'bull market' (marché haussier).
Une chose est sûre, si graphiquement cette figure constitue un signal de retournement baissier, le CAC a pour l'instant résister à la possibilité de combler le gap post-élection des 5175 points.
Si Wall Street se trouve dans la même logique de consolidation, le 'rush' sur les valeurs pharmaceutiques s'est poursuivi ce jeudi.
Après la présentation au Sénat du texte visant à abroger Obamacare, les investisseurs réalisent que les traitements les plus onéreux le resteront et que les marges des labos seront largement préservées.
Cette bonne santé des 'pharmas' devrait se propager à l'Europe.
La séance promet d'être en revanche plutôt calme sur le front des statistiques, seules les ventes de logements neufs aux Etats-Unis figurant à l'agenda du jour.
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Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison juillet - recule de six petits points à 5267,5 points, annonçant un début de séance sans grand changement.
Facteur de soutien après les soubresauts des derniers jours, le baril de brut léger américain WTI semble vouloir se stabiliser autour des 43 dollars, affichant actuellement une progression de 0,5% à 42,9 dollars.
Le marché parisien prolonge depuis quelques séances une dérive à l'horizontale, dans un biseau qui semble se resserrer entre 5230 et 5340 points.
Aucun signal directionnel n'émerge, mais la multiplication des contrepieds en séance depuis 10 jours pourrait être un précurseur de remise en cause du 'bull market' (marché haussier).
Une chose est sûre, si graphiquement cette figure constitue un signal de retournement baissier, le CAC a pour l'instant résister à la possibilité de combler le gap post-élection des 5175 points.
Si Wall Street se trouve dans la même logique de consolidation, le 'rush' sur les valeurs pharmaceutiques s'est poursuivi ce jeudi.
Après la présentation au Sénat du texte visant à abroger Obamacare, les investisseurs réalisent que les traitements les plus onéreux le resteront et que les marges des labos seront largement préservées.
Cette bonne santé des 'pharmas' devrait se propager à l'Europe.
La séance promet d'être en revanche plutôt calme sur le front des statistiques, seules les ventes de logements neufs aux Etats-Unis figurant à l'agenda du jour.
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