Selon les Echos, Eiffage (PA:FOUG) aurait coiffé Vinci (PA:SGEF) sur le poteau en remportant le contrat de construction de la ligne 16 de métro automatique du futur Grand Paris Express, une affaire chiffrée à 1,7 milliard d'euros. Pour l'heure, le groupe de BTP et de concessions n'a pas confirmé l'information.
La ligne 16 reliera la future gare de Pleyel, à Saint-Denis, à Noisy-Champs, deux villes du département de Seine-Saint-Denis. Elle comprendrait une dizaine de stations réparties sur 29 km et sa mise en service est prévue, du moins officiellement, fin 2023.
Dans le détail, le contrat aurait été remporté par un consortium comprenant Eiffage, TSO, filiale de travaux ferroviaires du groupe français indépendant NGE, et enfin Razel-Bec, filiale de Fayat.
Jusqu'à présent, les informations de presse laissaient plutôt supposer que l'affaire serait remportée par Vinci, autre géant français du BTP, de concert avec Bouygues (PA:BOUY). Sachant qu'un troisième consortium alliant le groupe de BTP italien Salini Impregilo à Demathieu & Bard, basé à Metz, était aussi en lice.
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La ligne 16 reliera la future gare de Pleyel, à Saint-Denis, à Noisy-Champs, deux villes du département de Seine-Saint-Denis. Elle comprendrait une dizaine de stations réparties sur 29 km et sa mise en service est prévue, du moins officiellement, fin 2023.
Dans le détail, le contrat aurait été remporté par un consortium comprenant Eiffage, TSO, filiale de travaux ferroviaires du groupe français indépendant NGE, et enfin Razel-Bec, filiale de Fayat.
Jusqu'à présent, les informations de presse laissaient plutôt supposer que l'affaire serait remportée par Vinci, autre géant français du BTP, de concert avec Bouygues (PA:BOUY). Sachant qu'un troisième consortium alliant le groupe de BTP italien Salini Impregilo à Demathieu & Bard, basé à Metz, était aussi en lice.
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