Investing.com - La livre sterling s'est hissée vers un pic du mois face au dollar U.S. ce jeudi, les piètres résultats de l'emploi privé des Etats-Unis révélés hier ayant calmé les ardeurs de ceux qui attendaient une relance fulgurante de leur part.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5448 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 10 mai, puis s'est stabilisée vers 1,5445, gagnant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5380, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5586, son plafond du 9 mai.
Le billet vert a perdu des plumes dans le sillage de créations des postes américaines décevantes, étant venues étouffer les bruits saugrenus selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année l'ampleur de ses apports mensuels de capitaux.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP a en effet constaté l'ajout de 135.000 postes salariés au cours du mois passé, au lieu des 165.000 espérés.
Son décompte est généralement considéré comme un avant-goût du rapport mensuel officiel très attendu sur l'emploi hors agriculture devant être publié demain.
La devise de la Grande-Bretagne avait repris hier du poil de la ête après qu'il ait été noté que les activités de services britanniques avaient réalisé le mois passé leur plus forte progression depuis mars 2012.
La Banque d'Angleterre semblait du coup encore moins encline à changer de politique lors de sa réunion mensuelle d'aujourd'hui, surtout après les résultats supérieurs aux espérances de la part des usines et dans le domaine du bâtiment révélés en début de semaine.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP laissant échapper 0,04% pour glisser à 0,8494.
La Banque Centrale Européenne devrait quand à elle tenir aujourd'hui son conseil de direction mensuel, après quoi les Etats-Unis rendront leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5448 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 10 mai, puis s'est stabilisée vers 1,5445, gagnant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5380, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5586, son plafond du 9 mai.
Le billet vert a perdu des plumes dans le sillage de créations des postes américaines décevantes, étant venues étouffer les bruits saugrenus selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année l'ampleur de ses apports mensuels de capitaux.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP a en effet constaté l'ajout de 135.000 postes salariés au cours du mois passé, au lieu des 165.000 espérés.
Son décompte est généralement considéré comme un avant-goût du rapport mensuel officiel très attendu sur l'emploi hors agriculture devant être publié demain.
La devise de la Grande-Bretagne avait repris hier du poil de la ête après qu'il ait été noté que les activités de services britanniques avaient réalisé le mois passé leur plus forte progression depuis mars 2012.
La Banque d'Angleterre semblait du coup encore moins encline à changer de politique lors de sa réunion mensuelle d'aujourd'hui, surtout après les résultats supérieurs aux espérances de la part des usines et dans le domaine du bâtiment révélés en début de semaine.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP laissant échapper 0,04% pour glisser à 0,8494.
La Banque Centrale Européenne devrait quand à elle tenir aujourd'hui son conseil de direction mensuel, après quoi les Etats-Unis rendront leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.