Investing.com - L'euro a vu son offensive face au dollar U.S. jugulée ce jeudi matin, retombant de son pic de trois semaines ayant suivi les propos du chef de l'émettrice de son adversaire, qui ont amplifié les doutes concernant l'éventuelle réduction de ses perfusions d'argent frais.
La paire EUR/USD est retombée depuis 1,3206, son cours le plus élevé depuis le 21 juin, jusqu'à 1,3065 en fin de séance asiatique, empochant tout de même encore 0,81%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2961, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,3253, son plafond du 21 juin.
L'étalon américain a en effet perdu des plumes par rapport à ses principaux concurrents après que Ben Bernanke, à la tête de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait confirmé que cette dernière poursuivrait ses assouplissements aussi longtemps que les prévisions pouvaient porter, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un chômage élevé.
Le compte-rendu détaillé de son dernier conseil directeur avait pourtant montré auparavant que ses membres étaient divisés sur le moment où il faudrait en réduire la voilure, se montant à 85 milliards d'USD mensuels.
Près de la moitié d'entre eux estime ainsi qu'elle devrait envisager de le faire d'ici la fin de l'année, et l'autre que le marché du travail reste encore trop affaibli.
Le billet vert avait repris des couleurs au cours du mois passé, après que le président de la banque centrale américaine ait rappelé que celle-ci pourrait diminuer l'ampleur de ses accommodements avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
La monnaie unique a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grimpant de 0,20% pour se hisser à 0,8656, mais en a cédé au yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0,12% pour déraper à 129,13.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
La paire EUR/USD est retombée depuis 1,3206, son cours le plus élevé depuis le 21 juin, jusqu'à 1,3065 en fin de séance asiatique, empochant tout de même encore 0,81%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2961, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,3253, son plafond du 21 juin.
L'étalon américain a en effet perdu des plumes par rapport à ses principaux concurrents après que Ben Bernanke, à la tête de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait confirmé que cette dernière poursuivrait ses assouplissements aussi longtemps que les prévisions pouvaient porter, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un chômage élevé.
Le compte-rendu détaillé de son dernier conseil directeur avait pourtant montré auparavant que ses membres étaient divisés sur le moment où il faudrait en réduire la voilure, se montant à 85 milliards d'USD mensuels.
Près de la moitié d'entre eux estime ainsi qu'elle devrait envisager de le faire d'ici la fin de l'année, et l'autre que le marché du travail reste encore trop affaibli.
Le billet vert avait repris des couleurs au cours du mois passé, après que le président de la banque centrale américaine ait rappelé que celle-ci pourrait diminuer l'ampleur de ses accommodements avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
La monnaie unique a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grimpant de 0,20% pour se hisser à 0,8656, mais en a cédé au yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0,12% pour déraper à 129,13.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.