Investing.com - Les places d'Asie terminaient sur une note largement positive ce lundi matin, l'atmosphère s'étant nettement allégée après que les grandes puissances occidentales aient trouvé un terrain d'entente avec l'Iran.
Les japonaises dépassaient aussi les attentes grâce aux évolutions du marché des changes.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,32%, le Hang Seng de Hong Kong 0,20% et le Nikkei 225 japonais 1,54%.
Les Etats-Unis, la Russie, la Chine, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France ont ainsi pu conclure avec un "premier accord" visant à limiter ses ambitions en l'échange d'un assouplissement des sanctions touchant les exportations d'or noir iraniennes en réactions aux allégations selon lesquelles le pays chercherait à développer l'arme atomique.
Les restrictions commerciales prises en réponse ont retiré plus d'un million de barils quotidiens du marché mondial.
Sydney profitait de la forme de ses secteurs bancaire et minier.
L'ANZ Banking Group grignotait ainsi 0,35% et la National Australia Bank 0,55%, tandis que le Westpac Banking Group se contentait de 0,1%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto avançaient chacun de 0,2%, le Fortescue Metals Group, centré sur le minerai de fer, n'étant pas en reste avec 0,7%.
Hong Kong oscillait cependant entre légers gains et pertes minimes, au rythme de l'éternel retour des rumeurs de diminution des aides de la banque centrale des Etats-Unis dès décembre.
Le poids lourd des hydrocarbures qu'est Sinopec dérapait pour sa part de 2,5% après quee les autorités aient lancé une enquête concernant la sécurité de ses installations de transaport de gaz et de pétrole, après qu'une explosion ait causé la semaine passée plus de 50 morts autour de son oléoduc de Qingdao.
tokyo bondissait quand à elle à son plus haut niveau depuis mai, la devise nippone laissant le billet vert prendre l'avantage en raison de l'hypothèse de plus en plus palpable d'assouplissements monétaires supplémentaires de le part de son émettrice au cours de l'année prochaine.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 101,90, tandis que l'EUR/JPY se hissait vers un nouveau pic de quatre mois, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, qui augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Honda et Toyota avançaient ainsi de 1,45 et 1,6%, suivis de Canon et Panasonic avec 1,2 et 3,5%.
Les poids lourds Fast Retailing et Softbank suivaient le mouvement ascendant avec 2,45 et 5,4%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait aussi positif que l'ambiance.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,55%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,5%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,4% et sur le FTSE 100 britannique à 0,4% également.
Les perspectives des marchés américains partageaient plus modestement l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,25%.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui leurs spécialistes de l'immobilier publier le nombre des ventes de logements en cours.
Les japonaises dépassaient aussi les attentes grâce aux évolutions du marché des changes.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,32%, le Hang Seng de Hong Kong 0,20% et le Nikkei 225 japonais 1,54%.
Les Etats-Unis, la Russie, la Chine, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France ont ainsi pu conclure avec un "premier accord" visant à limiter ses ambitions en l'échange d'un assouplissement des sanctions touchant les exportations d'or noir iraniennes en réactions aux allégations selon lesquelles le pays chercherait à développer l'arme atomique.
Les restrictions commerciales prises en réponse ont retiré plus d'un million de barils quotidiens du marché mondial.
Sydney profitait de la forme de ses secteurs bancaire et minier.
L'ANZ Banking Group grignotait ainsi 0,35% et la National Australia Bank 0,55%, tandis que le Westpac Banking Group se contentait de 0,1%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto avançaient chacun de 0,2%, le Fortescue Metals Group, centré sur le minerai de fer, n'étant pas en reste avec 0,7%.
Hong Kong oscillait cependant entre légers gains et pertes minimes, au rythme de l'éternel retour des rumeurs de diminution des aides de la banque centrale des Etats-Unis dès décembre.
Le poids lourd des hydrocarbures qu'est Sinopec dérapait pour sa part de 2,5% après quee les autorités aient lancé une enquête concernant la sécurité de ses installations de transaport de gaz et de pétrole, après qu'une explosion ait causé la semaine passée plus de 50 morts autour de son oléoduc de Qingdao.
tokyo bondissait quand à elle à son plus haut niveau depuis mai, la devise nippone laissant le billet vert prendre l'avantage en raison de l'hypothèse de plus en plus palpable d'assouplissements monétaires supplémentaires de le part de son émettrice au cours de l'année prochaine.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 101,90, tandis que l'EUR/JPY se hissait vers un nouveau pic de quatre mois, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, qui augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Honda et Toyota avançaient ainsi de 1,45 et 1,6%, suivis de Canon et Panasonic avec 1,2 et 3,5%.
Les poids lourds Fast Retailing et Softbank suivaient le mouvement ascendant avec 2,45 et 5,4%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait aussi positif que l'ambiance.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,55%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,5%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,4% et sur le FTSE 100 britannique à 0,4% également.
Les perspectives des marchés américains partageaient plus modestement l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,25%.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui leurs spécialistes de l'immobilier publier le nombre des ventes de logements en cours.